Publié le 23 Août 2015

 

  Je vous souhaite à tous et à toutes une bonne rentrée, pleine encore de succès, de bonnes résolutions.   A tous mes petits musiciens. Au petit Paul de Moscou .. hu hu hu. quelle belle famille ! encore un de très gentil tiens. un petit cousin très attachant, on s'aime bien aussi tous les 2 , savait pas le frérot qu'on avait des cousins à Moscou.

ben oui il y en a ils ont bien des cousins en Amérique! bon, on en a aussi mais  lui c'est par les Tsars . parle bien français en plus. Rien qu'à sa bouille on a envie de l'aimer très fort. hi hi hi, tellement contents au moins eux,  quand on leur fait plaisir. Des tout petits trucs qui sembleraient si rien en apparence. Un monde très réceptif à toute gentillesse tiens. On aimerait tant en faire plus, ça doit être comme les chrétiens en Orient.

Mes prières vous accompagnent même si j'en suis revenu au stade du raisonnement philosophique parce que je n'ai pas compris encore plein de choses. trop de choses incompatibles dans la religion,  surtout en Occident;

 

Ca doit être l'âge où on remet  tout en question. Mais on avance avec déjà moins d'objets plutôt  trop encombrants, malsains, un fardeau plus léger  et avec de nouveaux objectifs et plus d'illusions surtout.  j'ai été à la déchetterie, On a fait le ménage quoi. des endroits dont on s'est promis de ne plus y aller. on peut appeler ça ascèse, purification.. parfois tellement dur de se détacher de vieilles habitudes. Mais je crois ça vaut le coup. Au bout c'est la Vie que l'on désire et non la mort. il faut réellement se dire de certaines choses qu'elles n'existent pas parce qu'on n'en n'a pas besoin pour vivre, pour être heureux alors que la belle musique est communicatrice de  vie, thérapie contre la morosité.

J'ai gardé le meilleur. De cela au moins j'en suis convaincu. merci pour tout et

bonne rentrée à tous. Duc in Altum ! une belle aventure qui recommence.

Je vous laisse à ce nouveau mot pour moi :" prolégomène" je deviendrais même savant dis-donc!

ah non ce n'est pas une sainte ! ça aurait pu. Ste Prolégomène, c'est joli. allez  : prolégomène pour une nouvelle rentrée 2015 2016  .. il va rigoler mr. Sogny. 

le petit Placide qui vous aime tous très fort. 

 

 

 

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Rédigé par Philippe

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Publié le 22 Août 2015

Rédigé par Philippe

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Publié le 22 Août 2015

 

 

 

 

 

 

 

 

ça fait du bien des gens qui t'aiment vraiment, ça transforme une vie..! merci pour tout  Ilia tu es bien le meilleur, jamais j'ai eu ça. à ce stade ça dépasse le virtuel. une dame qui me demandait si tu étais mon petit-fils ! oh non hélas, mais c'est tout comme. 800 kilomètres, ça fait loin; si c'était à Paris encore ou à Bordeaux, mais Annecy ! bon séjour en France et bonne chance, bonne rentrée 2015 2016.. toutes mes félicitations.  il fallait une bonne purge pour trouver des amis comme toi. c'est fait et je regrette rien.  Si on peut faire plaisir encore !

 

il a du succès le petit, absolument parfait !

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Publié le 21 Août 2015

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Photos petit Placide

 

   Qui relève de la magie... ! l'amour fait plein de trop belles choses. allez il est temps d'aimer, d'aimer encore, d'aimer toujours plus fort. j'ai frappé à la bonne porte quand même. " ce n'est pas pour rien que je t'ai aimé', comme quoi si on n'aime pour du vent, ça ne sert à rien ce sont des énergies bêtement perdues.  j'en vois pas l'intérêt. c'est pour les mystiques, les spéculatifs;  comme je n'en suis pas un;  et comme quoi on peut aimer pour rien ! bon ça va un moment, faut pas trop que ça dure quoi. quand il y a - enfin - du répondant, c'est  le bonheur.  

je pensais à tout ça hier soir. 

“La pire des souffrances est celle de ne plus pouvoir aimer.”

Fiodor Dostoïevski

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Rédigé par Philippe

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Publié le 20 Août 2015

 

 

assez magiques. féériques.. on sait pas pourquoi.. ! sentiments de quiétude, des choses qui nous dépassent. Mais on sait qu'elles existent vraiment . une vision des choses qui transforme tout.  l'être, l'eros. se sentir aimé,  peut-être simplement parce qu'on sait qu'on a fait  plaisir et pas en vain. Et que là, au moins,  ça ne leur est pas un dû. il y a tant de personnes, il suffit qu'elles revêtent un certain caractère pour que tout leur soit dû. 

 

On a peut-être envie alors d'aller plus loin. La perfection existe et il faut continuer à la rechercher et ne pas s'arrêter à une vie médiocre,  insipide et sans saveur limitée à la seule recherche de tous les potins, ragpts d'Eglise ou  politique sans intérêt intellectuel qu'un goût morbide à la recherche de tout ce qui va mal ; quand l'internet n'existait pas des revues étaient spécialisées déjà dans ce domaine, et je demandais alors à Mgr Lefebvre ce qu'il en pensait de tout ça et de me dire que c'était un péché bien grave de salir son âme avec.  Qu'est-ce qu'il dirait aujourd'hui! au nom de l'information à en perdre toute espérance, si ce n'est la foi.

Eux, mes petits musiciens  c'est leur message universel.. la perfection, recherche-là, elle existe et  elle est à ta portée. Perfection non seulement dans la musique, mais dans la manière d être, de se présenter, de s'habiller,  sûrement aussi dans la vie quotidienne, leurs pages en témoignent loin de la vulgarité commune. Sans rien, on peut être aussi d'une grande noblesse. Et il y a des petits qui resteront des petits même s'ils croient en avoir beaucoup.

Oui ça fait réfléchir. Alors on se dit à quoi je vais m'appliquer aujourd'hui pour rendre ma vie un peu plus belle, plus noble,  plus intelligente.  Et on arrive à trouver toujours un petit procédé si petit soit-il. 

 

En fouinant j'ai un peu compris pourquoi Ilia se retrouvait en Orient.. et qu'on n'avait pas hésité à mettre le petit placide sur un mur aux caractères chinois. .. simplement à cause d'une école "st Dominic school"  ! ça doit être une grande école de musique dont beaucoup se réclamaient et dont il doit en être le directeur.

Oui j'ai souri en voyant ça la providence est bien bonne. Après la Géorgie ... aux caractères mystérieux. la Russie,   comme je me suis senti proche de tous mes petits musiciens... au fond le Christ n'était pas  bien loin avec des religions aux cultures si différentes. 

Et puis aucun de tous ceux pour qui j'ai fait un peu de pub  rajouté dans mes derniers  amis, qui ne m'ait dit simplement merci, Ilia ça ne se compte même plus;  même un du très grand beau monde comme monsieur Michel Sogny que je salue ici et pour qui j'ai beaucoup de respect et d'admiration. Ca change des gens,  ecclésiastiques ou pas et qui vous regardent d'en haut  d'un air méprisant dédaigneux sur leur piedestal arrogant...

Oui à tous un grand merci et bonne rentrée . que cette nouvelle année voit encore  tous vos efforts encore récompensés. bonne rentrée. 

Quelle bouffée d'oxygène ! Comme on se sent bien décidé à avancer..

le petit Placide.

 

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Rédigé par Philippe

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Publié le 20 Août 2015

 

 

 

 

Thank you very much.. ! voyage, voyage petit Placide pour Ilia .là c'est au bout du monde plus loin qu'Annecy ! ce n'est pas le petit Placide qui a du succès, faut pas croire, c'est Ilia ! trop  content pour lui . very good

小普拉西德

 

 

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Rédigé par Philippe

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Publié le 19 Août 2015

 

 

Souvenez-vous, ô très miséricordieuse Vierge Marie, qu'on n'a jamais entendu dire qu'aucun de ceux qui ont eu recours à votre protection, imploré votre assistance, réclamé votre secours, ait été abandonné.
Animé d'une pareille confiance, ô Vierge des vierges, ô ma Mère, je cours vers vous et, gémissant sous le poids de mes péchés, je me prosterne à vos pieds.
O Mère du Verbe, ne méprisez pas mes prières, mais accueillez-les favorablement et daignez les exaucer.

 

Amen.

 

Montagnes qui ruisseliez de lait,

Allez-vous-en bien loin,

Allez, collines dont les pentes jadis

Répandaient le miel en ruisseaux.

Cesse donc Israël, de vanter

L'antique manne de par le monde.

 

Car voici un coeur qui répand

 Des flots plus doux que le lait:

Voici une bouche qu exprime

Des fleuves meilleurs que le miel:

On ne trouve de manne plus douce

A cette bouche et à ce coeur.

 

Tu demandes où prend sa source

Un lait de telle abondance

D'où sort le rayon de miel

Et d'où tant de suavité,

D'où s'écoule une telle manne

Et d'où tout cette douceur.

 

 

Le lait, c'est la Vierge Mère

Qui du ciel l'a fait pleuvoir:

C'est de la gueule d'un lion mort

Que le miel coule à flot;

La manne abondante, c'est le désert,

Qui voisin des cieux, l'a produite.

 

O  Bernard, notre Docteur,

D'en haut comblé de tels dons

De ce lait, de ce miel,

Versez sur nous la rosée.

Vous qui, pour l'heure,

Les possédez en abondance

 

 

Chers frères et sœurs,

 

Aujourd'hui je voudrais parler de saint Bernard de Clairvaux, appelé le dernier des Pères de l'Eglise, car au XII siècle, il a encore une fois souligné et rendue présente la grande théologie des pères.

 

Nous ne connaissons pas en détail les années de son enfance; nous savons cependant qu'il naquit en 1090 à Fontaines en France, dans une famille nombreuse et assez aisée. Dans son adolescence, il se consacra à l'étude de ce que l'on appelle les arts libéraux - en particulier de la grammaire, de la rhétorique et de la dialectique - à l'école des chanoines de l'église de Saint-Vorles, à Châtillon-sur-Seine et il mûrit lentement la décision d'entrer dans la vie religieuse. Vers vingt ans, il entra à Cîteaux, une fondation monastique nouvelle, plus souple par rapport aux anciens et vénérables monastères de l'époque et, dans le même temps, plus rigoureuse dans la pratique des conseils évangéliques. Quelques années plus tard, en 1115, Bernard fut envoyé par saint Etienne Harding, troisième abbé de Cîteaux, pour fonder le monastère de Clairvaux. C'est là que le jeune abbé (il n'avait que vingt-cinq ans) put affiner sa propre conception de la vie monastique, et s'engager à la traduire dans la pratique. En regardant la discipline des autres monastères, Bernard rappela avec fermeté la nécessité d'une vie sobre et mesurée, à table comme dans l'habillement et dans les édifices monastiques, recommandant de soutenir et de prendre soin des pauvres. Entre temps, la communauté de Clairvaux devenait toujours plus nombreuse et multipliait ses fondations.

 

Au cours de ces mêmes années, avant 1130, Bernard commença une longue correspondance avec de nombreuses personnes, aussi bien importantes que de conditions sociales modestes. Aux multiples Lettres de cette période, il faut ajouter les nombreux Sermons, ainsi que les Sentences et les Traités. C'est toujours à cette époque que remonte la grande amitié de Bernard avec Guillaume, abbé de Saint-Thierry, et avec Guillaume de Champeaux, des figures parmi les plus importantes du xii siècle. A partir de 1130, il commença à s'occuper de nombreuses et graves questions du Saint-Siège et de l'Eglise. C'est pour cette raison qu'il dut sortir toujours plus souvent de son monastère, et parfois hors de France.

 

Il fonda également quelques monastères féminins, et engagea une vive correspondance avec Pierre le Vénérable, abbé de Cluny, dont j'ai parlé mercredi dernier. Il dirigea surtout ses écrits polémiques contre Abélard, le grand penseur qui a lancé une nouvelle manière de faire de la théologie en introduisant en particulier la méthode dialectique-philosophique dans la construction de la pensée théologique. Un autre front sur lequel Bernard a lutté était l'hérésie des Cathares, qui méprisaient la matière et le corps humain, méprisant en conséquence le Créateur. En revanche, il sentit le devoir de prendre la défense des juifs, en condamnant les vagues d'antisémitisme toujours plus diffuses. C'est pour ce dernier aspect de son action apostolique que, quelques dizaines d'années plus tard, Ephraïm, rabbin de Bonn, adressa un vibrant hommage à Bernard. Au cours de cette même période, le saint abbé rédigea ses œuvres les plus fameuses, comme les très célèbres Sermons sur le Cantique des Cantiques. Au cours des dernières années de sa vie - sa mort survint en 1153 - Bernard dut limiter les voyages, sans pourtant les interrompre complètement. Il en profita pour revoir définitivement l'ensemble des Lettres, des Sermons, et des Traités. Un ouvrage assez singulier, qu'il termina précisément en cette période, en 1145, quand un de ses élèves Bernardo Pignatelli, fut élu Pape sous le nom d'Eugène III, mérite d'être mentionné. En cette circonstance, Bernard, en qualité de Père spirituel, écrivit à son fils spirituel le texte De Consideratione, qui contient un enseignement en vue d'être un bon Pape. Dans ce livre, qui demeure une lecture intéressante pour les Papes de tous les temps, Bernard n'indique pas seulement comment bien faire le Pape, mais présente également une profonde vision des mystères de l'Eglise et du mystère du Christ, qui se résout, à la fin, dans la contemplation du mystère de Dieu un et trine:  "On devrait encore poursuivre la recherche de ce Dieu, qui n'est pas encore assez recherché", écrit le saint abbé:  "mais on peut peut-être mieux le chercher et le trouver plus facilement avec la prière qu'avec la discussion. Nous mettons alors ici un terme au livre, mais non à la recherche" (xiv, 32:  PL 182, 808), à être en chemin vers Dieu.

 

Je voudrais à présent m'arrêter sur deux aspects centraux de la riche doctrine de Bernard:  elles concernent Jésus Christ et la Très Sainte Vierge Marie, sa Mère.

 

Sa sollicitude à l'égard de la participation intime et vitale du chrétien à l'amour de Dieu en Jésus Christ n'apporte pas d'orientations nouvelles dans le statut scientifique de la théologie. Mais, de manière plus décidée que jamais, l'abbé de Clairvaux configure le théologien au contemplatif et au mystique.

Seul Jésus - insiste Bernard face aux raisonnements dialectiques complexes de son temps - seul Jésus est "miel à la bouche, cantique à l'oreille, joie dans le cœur (mel in ore, in aure melos, in corde iubilum)".

C'est précisément de là que vient le titre, que lui attribue la tradition, de Doctor mellifluus:  sa louange de Jésus Christ, en effet, "coule comme le miel".

 

Dans les batailles exténuantes entre nominalistes et réalistes - deux courants philosophiques de l'époque - dans ces batailles, l'Abbé de Clairvaux ne se lasse pas de répéter qu'il n'y a qu'un nom qui compte, celui de Jésus le Nazaréen. "Aride est toute nourriture de l'âme", confesse-t-il, "si elle n'est pas baignée de cette huile; insipide, si elle n'est pas agrémentée de ce sel. Ce que tu écris n'a aucun goût pour moi, si je n'y ai pas lu Jésus".

Et il conclut:  "Lorsque tu discutes ou que tu parles, rien n'a de saveur pour moi, si je n'ai pas entendu résonner le nom de Jésus" (Sermones in Cantica Canticorum xv, 6:  PL 183, 847).

En effet, pour Bernard, la véritable connaissance de Dieu consiste dans l'expérience personnelle et profonde de Jésus Christ et de son amour.

Et cela, chers frères et sœurs, vaut pour chaque chrétien:  la foi est avant tout une rencontre personnelle, intime avec Jésus, et doit faire l'expérience de sa proximité, de son amitié, de son amour, et ce n'est qu'ainsi que l'on apprend à le connaître toujours plus, à l'aimer et le suivre toujours plus. Que cela puisse advenir pour chacun de nous!

 

Dans un autre célèbre Sermon le dimanche entre l'octave de l'Assomption, le saint Abbé décrit en termes passionnés l'intime participation de Marie au sacrifice rédempteur du Fils. "O sainte Mère, - s'exclame-t-il - vraiment, une épée a transpercé ton âme!... La violence de la douleur a transpercé à tel point ton âme que nous pouvons t'appeler à juste titre plus que martyr, car en toi, la participation à la passion du Fils dépassa de loin dans l'intensité les souffrances physiques du martyre" (14:  PL 183-437-438). Bernard n'a aucun doute:  "per Mariam ad Iesum", à travers Marie, nous sommes conduits à Jésus.

Il atteste avec clarté l'obéissance de Marie à Jésus, selon les fondements de la mariologie traditionnelle. Mais le corps du Sermon documente également la place privilégiée de la Vierge dans l'économie de salut, à la suite de la participation très particulière de la Mère (compassio) au sacrifice du Fils. Ce n'est pas par hasard qu'un siècle et demi après la mort de Bernard, Dante Alighieri, dans le dernier cantique de la Divine Comédie, placera sur les lèvres du "Doctor mellifluus" la sublime prière à Marie:  "Vierge Mère, fille de ton Fils, / humble et élevée plus qu'aucune autre créature / terme fixe d'un éternel conseil,..." (Paradis 33, vv. 1ss).

Ces réflexions, caractéristiques d'un amoureux de Jésus et de Marie comme saint Bernard, interpellent aujourd'hui encore de façon salutaire non seulement les théologiens, mais tous les croyants.

On prétend parfois résoudre les questions fondamentales sur Dieu, sur l'homme et sur le monde à travers les seules forces de la raison. Saint Bernard, au contraire, solidement ancré dans la Bible, et dans les Pères de l'Eglise, nous rappelle que sans une profonde foi en Dieu alimentée par la prière et par la contemplation, par un rapport intime avec le Seigneur, nos réflexions sur les mystères divins risquent de devenir un vain exercice intellectuel, et perdent leur crédibilité.

La théologie renvoie à la "science des saints", à leur intuition des mystères du Dieu vivant, à leur sagesse, don de l'Esprit Saint, qui deviennent un point de référence de la pensée théologique. Avec Bernard de Clairvaux, nous aussi nous devons reconnaître que l'homme cherche mieux et trouve plus facilement Dieu "avec la prière qu'avec la discussion". A la fin, la figure la plus authentique du théologien et de toute évangélisation demeure celle de l'apôtre Jean, qui a appuyé sa tête sur le cœur du Maître.

Je voudrais conclure ces réflexions sur saint Bernard par les invocations à Marie, que nous lisons dans une belle homélie.

"Dans les dangers, les difficultés, les incertitudes - dit-il - pense à Marie, invoque Marie. Qu'elle ne se détache jamais de tes lèvres, qu'elle ne se détache jamais de ton cœur; et afin que tu puisses obtenir l'aide de sa prière, n'oublie jamais l'exemple de sa vie. Si tu la suis, tu ne te tromperas pas de chemin; si tu la pries, tu ne désespéreras pas; si tu penses à elle, tu ne peux pas te tromper. Si elle te soutient, tu ne tombes pas; si elle te protège, tu n'as rien à craindre; si elle te guide, tu ne te fatigues pas; si elle t'est propice, tu arriveras à destination..." (Hom. II super "Missus est", 17:  PL 183, 70-71).

 

Benoît XVI

 

 

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Publié le 19 Août 2015

 

quelqu'un sûrement de bien, vu sa date de naissance.. !

 

 

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Rédigé par Philippe

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Publié le 19 Août 2015

 

"Dans les dangers, les difficultés, les incertitudes  pense à Marie, invoque Marie. Qu'elle ne se détache jamais de tes lèvres, qu'elle ne se détache jamais de ton cœur; et afin que tu puisses obtenir l'aide de sa prière, n'oublie jamais l'exemple de sa vie. Si tu la suis, tu ne te tromperas pas de chemin; si tu la pries, tu ne désespéreras pas; si tu penses à elle, tu ne peux pas te tromper. Si elle te soutient, tu ne tombes pas; si elle te protège, tu n'as rien à craindre; si elle te guide, tu ne te fatigues pas; si elle t'est propice, tu arriveras à destination..."

st Bernard .

 

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Rédigé par Philippe

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Publié le 18 Août 2015

 

 

 

  j'ai reconnu ! le moine au sourire.. i think to you !  good morning father . veinard ! retrouver des gens que j'ai beaucoup aimé. comme le temps a passé vite.

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Rédigé par Philippe

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