Publié le 29 Février 2020

Rédigé par Philippe

Publié dans #divers

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Publié le 29 Février 2020

Rédigé par Philippe

Publié dans #spiritualité

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Publié le 28 Février 2020

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Publié le 28 Février 2020

 

 

 

 

1ère station

Jésus est condamné à mort. 

 

   Cette première  station représente le prétoire et la maison de Pilate, où le Sauveur , qu'on maltraitait déjà comme un criminel, sans autre motif que ses innombrables bienfaits, est exposé, les chairs en lambeaux et recouvert d'un haillon de pourpre, aux regards de la multitude. C'est cette populace ignorante, aveugle et passionnée, qui va décider de son sort.

   De grâce, fermez les oreilles, mes frères, pour ne pas entendre la plus infernale sentence qui ait jamais souillé un tribunal; car il n'en est pas un seul parmi ces misérables qui ne crie : Tolle, tolle, crucifige eum. Et qui plus est, transportés par une rage inconcevable, ils osent provoquer la justice divine à faire retomber sur eux le châtiment de cet affreux déicide: Sanguis ejus super nos, et super filios nostros.

   Ah! quelle peine je ressens en pensant à ce qui est figuré par cette foule insensée. Toutes les fois, mon frère, que votre passion a réclamé une sentence de mort contre Jésus, avec quelle ardeur n'avez-vous pas crié aussi: " Tolle, tolle , crucifige eum ? 

N'éprouvez-vous aucun regret d'avoir prononcé l'arrêt de mort contre Jésus? Or , voici un excellent moyen de réparer vos fautes. Suivez cette voie douloureuse avec un coeur contrit , déplorez le passé, proposez-vous de vous amender, et priez Jésus, au nom de cette sentence de mort qu'il a acceptée pour votre amour, de vous délivrer de la mort éternelle que vous avez méritée par vos  péchés. 

 

 

2ème station

Jésus embrasse sa croix. 

   Jésus avait fait quelques pas, lorsque, sur la place même du prétoire, on charge sur ses épaules meurtries et déchirées , une lourde croix, grossièrement travaillée, dont le poids énorme fait courber son corps adorable. 

   Ame compatissante, vous regardez la croix matérielle qui accable le Sauveur; mais ne voyez-vous pas la croix d'une autre nature qui lui pèse sur le coeur ? Ah! si vous saviez tout ce que Jésus-Christ souffre en vous voyant si délicate, si adonnée à la satisfaction des sens, si ennemie de la souffrance et de la croix, au point de vous ranger du nombre de ceux que condamnait saint Paul: Inimicos Ccucis Christi!...

    Prenez donc la résolution de suivre une autre voie, car il est impossible que votre conscience ne vous reproche pas en ce moment de ne point suivre le chemin qui mène au paradis. Non, non, le chemin du ciel n'est point semé de plaisirs, mais bien de croix et de souffrances! Décidez-vous  donc à embrasser une vie pénitente afin d'accompagner Jésus pendant sa vie et de le posséder ensuite après la mort. 

 

3ème station

Jésus tombe pour la première fois. 

   A la vue de Jésus accablé par son lourd fardeau, tombant à demi-mort et roulant sur le pavé, de manière que le sang jaillit de ses narines, de ses yeux, de sa tête percée par la couronne d'épines, à cette vue, dis-je, aura-t-on encore le courage de nourrir des pensées d'orgueil et de vanité? 

   Oh! que ma vie est différente de celle de mon Sauveur! Il n'ambitionne que les mépris et les souffrances, et moi, je ne recherche que les honneurs et les plaisirs. 

  En réparation pour tous les prêtres qui ont quitté le sacerdoce - dont on sait qu'hélas, le caractère sacerdotal demeure même mariés... -

et ceux qui ont sali l'image sacerdotale auprès des jeunes enfants.

miserere nostri Domine, miserere nostri. 

 

IV ème station

Jésus rencontre sa Mère. 

   Voyez Jésus qui se plaint de votre cruauté. à tourmenter le coeur de sa Mère; voyez Marie: avec quelle douleur elle vous exprime ce qu'elle souffre, en vous voyant si impitoyable à l'égard de son bien-aimé Fils . Et vous, quels sont donc vos sentiments? Quoi ! vos yeux ne se changent pas en deux fontaines de larmes? 

   Jetez-vous aux pieds de Jésus et de Marie et prenez la résolution de changer totalement de vie au moyen d'une bonne et sainte confession. Ne tardez pas, c'est peut-être le dernier avis que Dieu vous donne. 

V ème station 

Simon aide Jésus à porter sa croix. 

 

 Réveillez-vous donc, réveillez-vous et embrassez de bon coeur la croix de Jésus-Christ , en lui demandant la force de la porter avec persévérance jusqu'à la mort, oui, jusqu'à la mort. 

 

VI ème station

Véronique essuie la face de Jésus . 

 

Ah! au lieu d'essuyer la face de Jésus, vous avez achevé de la défigurer. S'il en est ainsi, apprenez de cette sainte femme à soulager Jésus en purifiant votre coeur de toutes les souillures du péché, afin qu'il soit disposé à recevoir la divine empreinte, et qu'au jour du jugement dernier nous soyons tous reconnus pour ses serviteurs. 

 

VII ème station

Jésus tombe pour la deuxième fois. 

Ah! entrons dans cette divine école de patience que Jésus nous ouvre dans son coeur. Et là apprenons à calmer ces accès de bile, à réprimer ces emportements, ces cris dont on fait retentir l'air à la moindre contrariété. 

Prenons la résolution d'user en toute rencontre de cette mansuétude qui convient à un chrétien et de nous graver dans le coeur cette précieuse leçon que Jésus nous donne : " Apprenez de moi que je suis doux et humble de coeur. " 

 

VIII ème station 

Jésus console les filles de Jérusalem. 

" Pleurez sur vous-mêmes, dit-il aux femmes de Jérusalem, et sur vos enfants. " Voilà les larmes dont Jésus a soif; il désire que vous pleuriez amèrement vos péchés.  Que de larmes ne répand-on pas pour la perte d'un petit intérêt temporel? et quand il s'agit de la perte des biens éternels, nous avons le coeur de pierre. 

 Ah! demandons à Jésus avec toute la ferveur possible cette salutaire pénitence pour laver nos âmes de toutes les tâches du péché. 

 

 

IX ème station

Jésus tombe pour la troisième fois 

Voyez à quelle extrémité il est réduit, comme tout son corps est brisé, exténué, sans forces, ce qui est cause qu'il tombe pour la troisième fois sur le flanc de la montagne. Contemplez-le, la face dans la poussière, ranimant un reste de vie qu'il conserve par miracle pour vous demander d'une voix lamentable aide et secours. Et quel secours pouvons-nous vous donner , aimable Jésus? 

  Savez-vous lequel? Un secours de soupirs et de larmes. Oh! puissent nos coeurs une bonne fois se briser de douleur! Tous tant que nous sommes, protestons en vrais pénitents que dorénavant notre nourriture ordinaire sera de pleurer la Passion de Jésus-Christ. 

 

X ème station 

Jésus est dépouillé de ses vêtements. 

Si jusqu'ici quelqu'un d'entre vous fut sourd à la voix de Jésus qui, dans tant de stations, a tâché de vous parler au coeur, ah! écoutez avec quelle tendresse il vous invite en cet endroit, cet aimable Sauveur à contempler ses plaies. Me voici, mon fils, dit-il, vois comment par amour pour toi je me suis laissé arracher jusqu'à la peau du dos. Ne vois-tu pas que je ne suis plus qu'une plaie de la tête aux pieds, en proie à un spasme douloureux, sans autre rafraîchissement que de la myrrhe, du fiel et du vinaigre? 

Sache donc que ce que je souhaite le plus, que la seule chose que j'attende, c'est un peu de retour de ta part. Oh! combien tu m'obligerais par une larme, un soupir, une émotion tendre du coeur ! Ah! mon Dieu , mon Dieu ! puissions-nous fondre en larmes de compassion! 

 

 

XI ème station

Jésus est crucifié 

Vous aimez votre chair pour un instant, car le plaisir passe en un instant, et vous la condamnez à des supplices éternels qui ne finiront jamais, jamais, jamais. Esprit-Saint, je vous en conjure, ouvrez les yeux à tel ou telle afin qu'à la vue de Jésus crucifié ils reconnaissent leur folie, et se déterminent à embrasser la pratique de la pénitence.  

 

XII ème station

Jésus est élevé en croix.

Voilà enfin, exposé à la face du monde entier, un Dieu crucifié après avoir traîné sous une croix . Ah! prosternés à genoux, prenons tous copie d'un si beau modèle exposé à nos regards...! 

Quelle est la plus grande peine qui afflige cet aimable Sauveur, suspendu en l'air sur trois clous, et tout ruisselant de sang? quelle-est-elle? Ecoutez- le de sa bouche divine : Sitio , " j'ai soif " . Jésus ne se plaint d'aucun autre mal que de sa soif. Mais quelle est cette soif qui le tourmente tellement ? quelle est-elle? le savez-vous? Ah! c'est la soif de vos larmes, de votre amour; c'est le grand , mais très grand désir qu'a Jésus de vos soupirs. Sitio , " j'ai soif " . Et vous , ingrat, laisserez-vous Jésus mourir de soif, plutôt que de le rafraichir par une tendre compassion? 

 

 

XIII ème station

Jésus entre les bras de sa mère.

 

Ah ! Mère infortunée, quel glaive de douleur vous perce le coeur, en contemplant sur votre sein ces membres déchirés, ensanglantés, du plus aimé des fils ! Oui, sa douleur fut grande dit le séraphique saint Bonaventure; Marie sentit tellement son coeur percé par les épines et les clous, déchiré par les coups, qu'elle fut comme transformée en épines, en clous et en plaies : 

O très sainte Mère, Mère de grâce, ne nous refusez pas une grâce si précieuse; faites que plongés continuellement dans vos peines, nous pleurions sans cesse nos péchés qui en furent la cause. 

XIV ème station

Jésus est mis dans le sépulcre. 

Formez dans votre coeur un sépulcre au Sauveur, et ne quittez pas ce lieu sans emporter avec vous les augustes reliques de votre Dieu. Oh! alors , certes, Marie sera contente , et Jésus le sera pareillement. Mais comment oseriez-vous déposer le corps très pur de Jésus dans un coeur si corrompu? Ah! lavez-le avec les larmes de la pénitence, en répétant avec le saint roi David :" Seigneur , créez en moi un coeur pur." Cor mundum crea in me, Deus. Dieu vous soit en aide. 

rp. Salvator d'Ormea 

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Rédigé par Philippe

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Publié le 27 Février 2020

photos petit Placide. 

 

merci pour la journée d'hier !

j'ai failli pleurer, mais bon ! ma sensibilité exacerbée qui me joue encore des tours; ça me perdra! 

bon courage, je suis toujours là !

Philippe. 

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Rédigé par Philippe

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Publié le 26 Février 2020

 

Mercredi des Cendres

 

Homélie du Très Révérend Père Dom Jean Pateau

Abbé de Notre-Dame de Fontgombault

(Fontgombault, le 26 février 2020)

 

 

Convertimini ad me

Revenez à moi

Jl 2,12

 

Chers Frères et Sœurs,

Mes très chers Fils,

 

Voici que viennent à nous, à nouveau, les jours de pénitence de la sainte Quarantaine, jours tout à la fois redoutés et désirés.

Redoutés, car ils nous rappellent au devoir de la conversion, à ce retournement qui, s’il ne concerne peut-être pas l’orientation ultime de notre vie, demande pourtant un réel effort sur tel ou tel point qu’il nous revient de discerner et de reconnaître. Il n’est jamais facile de renoncer aux habitudes qui ont vieilli avec nous. Quelle preuve d’amour que de le faire ! Quel mérite !

Ces jours sont désirés, car ils s’achèveront dans la lumière du Ressuscité. La rencontre de la nuit pascale est comme l’aimant qui réoriente la boussole de notre vie au long de ce Carême.

Rencontrer et accueillir le Seigneur ne s’improvise pas. Souvenez-vous de l’évangile de Marthe et de Marie. Le Seigneur est entré dans la maison de ses amis. Marie est aux pieds de Jésus. Marthe s’affaire aux préparatifs du repas et s’impatiente devant l’inaction de sa sœur. Jésus, tout en reconnaissant qu’elle s’agite pour beaucoup de choses (il ne lui demande pas d’ailleurs de renoncer à sa cuisine), lui rappelle délicatement qu’un seul choix est bon, vraiment bon. Cette bonne part, Marie l’a choisie. Cette bonne part, c’est accueillir Jésus dans son cœur.

La réponse de Jésus nous désigne le chemin d’un Carême authentique. Il ne s’agit pas pour nous d’embrasser les observances des Chartreux. Il s’agit, tout en demeurant fidèle au devoir d’état, à la banalité de nos journées, de ré-accueillir ou de mieux accueillir Jésus dans notre propre vie.

Le Carême n’est donc pas un temps d’entraînement aux exploits ascétiques qui peuvent combler les exigences ardentes d’une jeunesse plus orgueilleuse que sainte. En ce saint temps, l’Église invite ses enfants à mener une vie réellement et simplement chrétienne dans une pratique concrète, renouvelée et persévérante de l’amour de Dieu et du prochain.

Le terme de la vie, c’est la rencontre avec le Christ. Si saint Benoît invite ses moines à avoir sans cesse la mort présente devant les yeux, c’est que l’ivresse d’une vie, qui n’a pourtant rien à voir avec celle des gens du monde, peut faire oublier cette étape que nous aurons tous à franchir.

Replacé dans le contexte de la totalité de la vie, le temps du Carême apparaît comme un rappel que notre route comportera un terme qui demande une préparation. 

Le mystère pascal, centre de l’année liturgique, n’est pas la simple commémoraison annuelle d’un événement vieux de deux mille ans. Le rappel de la mort et de la résurrection du Christ invite à une rencontre : celle de notre vie avec le Christ.

En résumé, le Carême est au jour de Pâques ce que notre vie est au jour de notre mort, c’est-à-dire de notre rencontre avec le Christ. Saint Benoît, au début du chapitre de sa Règle consacré à l’observance du Carême, écrit :

La vie d’un moine devrait être, en tout temps, aussi observante que durant le Carême. Mais, comme il en est peu qui possèdent cette perfection, nous exhortons tous les frères à vivre en toute pureté pendant le Carême, et à effacer, en ces jours sacrés, toutes les négligences des autres temps.

Alors, que faire en ce Carême, ou, plus justement, comment demeurer avec le Christ en ce Carême ?

Le mystère de Dieu est inépuisable. Celui qui renoncerait à chercher Dieu, à connaître plus profondément le Christ, ne pourrait prétendre demeurer avec le Christ.

En ce temps, n’ignorons pas la grande richesse des textes liturgiques. L’Église les a disposés afin de préparer les catéchumènes au baptême. Sur le chemin de Dieu, nous demeurerons toujours des novices. Pourquoi ne pas prendre un temps suffisant de méditation de ces textes ?

Connaître le Christ ne suffit pas, il faut aussi vivre avec le Christ, et que notre vie s’enracine en la sienne. Deux lieux s’offrent à nous : notre propre vie d’abord, toujours à évangéliser ; et ensuite, la ou les communautés au milieu desquelles nous vivons : la famille ou la communauté religieuse en premier lieu, mais aussi l’école, l’université, le lieu de travail ou encore les lieux de loisirs.

Évangéliser les lieux ne suffit pas, il faut aussi évangéliser dans la durée, évangéliser les temps.

Au seuil de ce Carême apparaît la nécessité d’un humble et réaliste examen de conscience, sans peur, sans compromission.

Le risque du découragement n’est pas à exclure. Si l’examen de conscience s’avère nécessaire, peut-être qu’un « examen de confiance » portant sur la ferveur, sur la profondeur de notre foi, serait tout aussi urgent. Comment comprendre qu’il y ait si peu de chrétiens qui rayonnent leur foi en évangélisant ?

Pour parer à un éventuel découragement, les textes de ce premier jour du Carême abondent en références à la miséricorde de Dieu. Elle est l’attribut divin qui nous encourage à demander, avec l’Église, le secours du Seigneur, quand nous sommes dans l’adversité et que le péché nous tient dans ses filets.

Rappelons-nous que si le poids du jour est lourd, si notre passé nous accuse, Dieu ne veut pas la mort du pécheur mais qu’il se convertisse et qu’il vive. Cette volonté de Dieu transfigure le passé. Elle fonde une espérance pour le futur. Surtout, elle désigne le présent comme le lieu pour une réponse concrète à la volonté divine. Cette réponse, c’est la conversion.

Comme signe de notre volonté de répondre à l’appel du Seigneur, nous avons reçu sur le front le signe de la Croix, marqué avec de la cendre.

Revenez à moi de tout votre cœur, dans le jeûne, les larmes et le deuil ! Déchirez vos cœurs et non pas vos vêtements , et revenez au Seigneur votre Dieu.
 ( Jl 2,12-13)

Si les textes de ce matin mentionnent la miséricorde de Dieu, ils nous invitent aussi à la pratique de la vertu d’humilité. L’humilité de la Vierge de Nazareth a conquis le cœur du Seigneur.

Enfin, le Seigneur nous assure de la protection des saints anges. Prions-les tout particulièrement en ce saint temps.

Par l’aumône, le jeûne et la prière, ouvrons nos cœurs à l’attente et à la lumière du Christ ressuscité dans une foi, une espérance et une charité renouvelées.

Saint et joyeux Carême. Amen

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Rédigé par Philippe

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Publié le 26 Février 2020

photos petit placide 

 

pas de cas de  oisoronavirus !!!

comme par un fait exprès pas de vidéos spéciales depuis plusieurs  jours , doivent être en vacances. 

 

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Rédigé par Philippe

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Publié le 25 Février 2020

 

 

Nous rappeler que son Fils, notre Christ aimé, il lui a fait traverser " l'agonie de Gethsémani " et sur la croix, lui a laissé prononcer le " Pourquoi m'avez-vous abandonné? "

   Alors, avec le Bon Dieu, il n'y a pas la lumière, il n'y a pas le noir : il y a la certitude qu'on est dans sa main. Et c'est la main d'un Père pour qui nous existons personnellement comme si nous étions seuls à exister. 

  Alors, abandon complet, et la prière consiste maintenant simplement à être là devant le bon Dieu, tel que l'on est, sans rien dire. 

   Oh ! qu'il nous aime ainsi ! 

 

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Rédigé par Philippe

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Publié le 25 Février 2020

 

 

overblogoronavirus !   

il se peut des changements de comportement de nos blogs ... durant quelques jours, des surprises désagréables,  indépendant de notre volonté.  de quoi nous exercer à la vertu de patience pendant ce carême. alors ne pas s'étonner. 

merci de votre compréhension. 

 

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Rédigé par Philippe

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