31 Juillet 1886

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 'Jusqu'à quand, Seigneur?', répète le Psalmiste à quatre reprises, 'Herr, wie lange?' répétent, presque en martelant, le ténor et le chœur, dans le morceau écouté. C'est le cri de l'homme et de l'humanité, qui sent le poids du mal dans le monde; et la musique de Liszt nous a transmis cette sensation de pesanteur, d'angoisse".

"Dieu n'abandonne pas. Le psalmiste le sait, et Liszt lui-même, en homme de foi, le sait".
De l'angoisse, "naît une supplique pleine de confiance qui se termine dans la joie. 'Mon cœur exultera de ton salut … Je chanterai au Seigneur, qui m'a couvert de bienfaits". Et ici, la musique de Liszt se transforme: ténor, chœur et orchestre élèvent un hymne de confiance totale en Dieu, qui ne trahit jamais, n'oublie jamais, ne nous laisse jamais seuls".
Ce psaume, "le grand musicien hongrois l'a plus prié que composé, ou mieux, qu'il l'a prié avant de le composer."

Benoit XVI 

diocèse de Luçon

forme extraordinaire

fssp

ste Gemme la plaine

tous les dimanches  d'Août

messe à 18 heures

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Leur nom n’a pas de particule, mais ils ont gagné leurs lettres de noblesse. Les Guyot ont un sens très particulier de la vie de château, qui exige un brin de folie et une sacrée ténacité. Le premier à s’être lancé le défi est Jacques, le père. Son histoire commence il y a plus de trente ans, dans le magasin de meubles familial. Il est le fils d’un ancien élève de l’école Boulle, passionné de décoration. Un « revers de fortune » va changer son destin. A la manière du fils du meunier dans « Le chat botté », il explique : « Je n’ai rien hérité, si ce n’est la philosophie de mes parents. Une éducation idéale basée sur des convictions chrétiennes, un sens des valeurs très fort. »

onepeterfive.com  

Tout simplement, splendide !  Quite simply splendid!

congratulations to Irina, (and a autograph for mi , ! )  

 a little happiness!

 Philippe 

thank you very much.

"laylay layayal laya laya layala !  layala lalayalala  " 

i speak russian ! 

Photo le petit placide 

Merci pour tes prières à Lourdes, bon retour. soyez prudents ! 

Philippe fatigué.

dédicace, bon week-end ! 

aujourd'hui, je suis tombé sur un monde de parvenus ! les nouveaux riches d'un monde   , ça se dit tradi.  vous savez ! écoeuré . Montrant sa chevalière et sa montre en argent ,  plus voiture de luxe !  quand des gens autour de nous crient famine à cause de l'actualité.. méprisant,   mais ça ne m'étonne pas, venant d'où ça vient. la première fois que je vois ça  sur facebook ! grand bien leur fasse .  j'ai cotoyé à l'abbaye des gens du grand monde, mais eux avaient la délicatesse de retourner leurs chevalières au réfectoire  pour ne pas qu'on voit leurs armes, discrets et humbles. 

quelle monde pourri . Il y aura bien une justice va ! 

... alors mes petits une bouffée d'oxygène ! .

congratulations  for Irina !  thank you very much . superbe ! 

Une année de plus, la relique du sang de San Pantaleón a été liquéfiée dans le couvent de l'Encarnación à Madrid (Espagne), où de nombreux fidèles ont voyagé, bien que l'afflux des années précédant la pandémie ne se soit pas encore rétabli. 

L'archidiocèse de Madrid a publié les témoignages de certains des fidèles qui sont venus ce jour motivés par diverses raisons. 

Flora reconnaît qu'elle vient au rendez-vous depuis des années, en signe de gratitude parce qu'avant le prodige du sang liquéfié, elle a commencé son chemin d'amitié avec le Christ.

"La première fois que je suis venu, j'ai été impressionné et, d'une certaine manière, c'est là que ma conversion a commencé", dit-elle. Depuis lors, alors que sa foi n'était pas encore établie, cela l'a encouragé à fréquenter l'Église. 

A 87 ans, María Pilar a parcouru la moitié de la ville en bus pour se rendre au couvent, où elle a surtout prié pour sa santé. Mais ce n'est pas le seul motif. 

Les larmes lui viennent bien quand elle se souvient que sa mère, étant "l'aînée de 12 frères et sœurs, est venue à Madrid pour servir et les lui a tous apportés".

Chaque 27 juillet, à l'occasion de la fête de San Pantaleón, "tout le monde se réunissait ici" pour prier devant les reliques du saint pour être le saint patron de sa ville d'origine, Madriguera, un quartier de la célèbre ville de Riaza dans la province de Ségovie. 

Francisco Javier, originaire de Manzanares, dans la province de Ciudad Real, l'occasion de visiter les reliques de San Pantaleón lui est venue à mi-chemin de Soria. Pendant des années, comme cela coïncidait avec son anniversaire, il avait l'intention de se rendre en personne au couvent de la Encarnación. 

Cette année, il a réalisé son rêve et en profite également pour visiter le musée de la cathédrale de Santa María la Real de la Almudena et la chapelle de San Isidro, l'année sainte du quatrième centenaire de sa canonisation, dans le même temple. . 

De son côté, pour María, veuve depuis 16 ans, la visite aux reliques de Saint Pantaleon a une profondeur spatiale. L'un de ses premiers départs de la maison après la mort de son mari a été, précisément, pour le couvent de l'Encarnación.