Publié le 31 Janvier 2021

 

abbaye de Silos, 

«Notre communauté est actuellement composée de 24 membres. Lundi dernier, 25 janvier, 13 membres ont été testés positifs pour le coronavirus. Un moine est hospitalisé à Burgos. Tous présentent, du moins pour le moment, des symptômes bénins. Les moines testés négatifs (l'autre moitié) s'organisent pour aider les malades en distribuant de la nourriture autour des cellules et en prenant la température corporelle »,

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Rédigé par Philippe

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Publié le 30 Janvier 2021

 

 

 

 

 

 

 

Avec la Septuagésime, nous quittons définitivement le cycle de Noël pour entrer dans le cycle Pascal. Les rites extérieurs propres à cette nouvelle saison liturgique : suppression du Glória à la messe, suppression du joyeux Alléluia à tous les champs de l’Office, même au Deus in adjutorium meum intende, avec lequel il fait pour ainsi dire corps, ornements violets, tout cela est singulièrement évocateur et suffirait à caractériser l’atmosphère où va désormais se dérouler toute la liturgie : c’est maintenant l’esprit de pénitence qui va – et de plus en plus à mesure que l’on approchera des jours saints où se célèbre le mystère de la passion du Seigneur – marquer de son sceau la prière de l’Eglise.

En somme, comme le Carême est la préparation à la Semaine Sainte, le temps de la Septuagésime est la préparation au Carême. Il en est comme une sorte d’anticipation. On dirait qu’avant de commencer le grand jeûne d’expiation des péchés du monde, et pour nous y entraîner, l’Eglise nous fait faire un examen de conscience, nous remémorer les fautes et les crimes dont s’est chargée l’humanité coupable, et qui ne seront effacés que par l’effusion du sang rédempteur : péché originel et péchés actuels. De fait, elle va nous faire relire dans la Genèse, durant la semaine de la Septuagésime, le récit de la création et de la chute au paradis terrestre, et, durant la semaine de la Sexagésime, le récit du déluge, si circonstancié.

Nous avons tous étés englobés dans la sentence de mort prononcée au paradis terrestre. Il n’est que de se rappeler les affirmations répétées de saint Paul et les définitions de l’Eglise.

C’est cette conscience aiguë de notre misère foncière devant Dieu que reflète l’admirable liturgie du temps de la Septuagésime, et notamment la messe des trois dimanches de Septuagésime, Sexagésime et Quinquagésime. Mais on peut y voir également, ainsi que dans la liturgie de Carême, comment l’Eglise comprend la pénitence, faite, bien entendue, de la douleur des fautes commises, mais aussi d’une confiance invincible en la miséricorde infinie. C’est très bon pour l’âme de porter son regard à ces hauteurs.

Dans nos monastères, nous chantons, durant la procession qui précède la messe conventuelle, le répons Media vita, si célèbre au Moyen Âge.

 

Ce motet figure se trouve dans le volume 13 dédié aux motets grégoriens.

« Encore plus que les paroles, dit Camille Bellaigue, il faudrait pouvoir citer la musique, cette complainte rude, rauque, et par moments terribles… C’est un chant tragique et sublime. « Sancte Deus ! Sancte Fortis ! Sancte miséricors ! » Sur chaque sancte ! Les voix se laissent tomber lourdement, puis remontent, comme si toute l’humanité chargeait cette note unique de tout le poids de son épouvante et de sa misère, pour la relever aussitôt de toute la force de sa foi et de son espérance ». Puis, soudain, aux versets, les voix s’élèvent, tranchant nettement sur ce qui a précédé, s’installent à l’aigu, et avec une force splendide, à la fois de supplications et de confiance, rappellent à Dieu ses bienfaits passés, comme pour Le mettre en demeure de se montrer encore.

La messe de la Septuagésime, comme tant d’autres, offre une grande variété. Les pièces qui la composent, textes et mélodies, sont très diverses d’inspiration comme de signification profonde. On ne le répétera jamais assez que la liturgie n’est pas construite sur le modèle de nos pièces classiques, au déroulement logique impeccable ; chez elle règne la plus complète de souplesse, chaque élément présentant un ou même plusieurs des aspects du mystère ; ce n’est que par leur somme que nous en percevons la physionomie totale.

Nous le constatons une fois de plus ici. C’est bien toujours de pénitence qu’il s’agit, mais de la pénitence authentique, tels que l’Eglise la conçoit, avec à la base, bien entendu, la conscience de la misère personnelle et la demande de pardon des fautes, mais aussi avec une confiance inébranlable en Dieu, l’appui sur lui, et la prière humble et servante, sans que cesse le tribut de louanges à Sa Majesté qui est le premier devoir du chrétien. À y bien regarder, il ne serait pas impossible de discerner dans chacune de cinq pièces tous ces divers points de vue, au moins esquissé.

Cette messe de la Septuagésime peut être considérée à tous égards parmi les plus belles de toute l’année liturgique.

 

 

 

 

 

"mais un seul remporte le trophée.."

 

épître st Paul

 

souvenir, 2012... , déjà ! 

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Rédigé par Philippe

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Publié le 30 Janvier 2021

 

 

" Aujourd'hui si vous entendez sa voix, n'endurcissez pas votre coeur... " 

règle de st Benoît 

 

 

 pauvre vigne.. ! parfois c'est la désolation.  Elle fait peine à voir. 

Merci Seigneur d' y avoir été embauché. 

Tant que le pied n'est pas mort, il sera toujours bon de retrousser ses manches. 6 euros 82 !  ok , ça marche. 

... le midiou qui l'a défigurée. Vous savez, le froid, les ampoules aux mains, vous savez ce que c'est dans votre atelier de menuiserie, où vous respiriez toutes les poussières , 

 . le dos courbé toute la journée , la chaleur.. avec des ampoules aux pieds, 

Justine encore qui arrive, quand c'est pas Justine, c'est Alex, Juliette , 

la fatigue, l'usure du temps, la solitude, pardon de l'avoir laissé défigurer de n'y avoir pas porté le soin nécessaire pour un meilleur rendement. 

La vigne a besoin d'une situation ensoleillée, comme à Clear Creek, à Fontgombault. Ils y ont de bonne récolte. à plusieurs c'est plus facile, c'est entrainant.

Seul on se décourage trop vite. les chutes, les rechutes, les arrêts maladie, que sais-je.. les ras le bol.  pas de rendement, pas de salaire, quelle misère.. et puis on n'a plus la même vitalité sauf si la communion des saints nous entraîne contre vents et marrées, on est surpris de ce qu'on peut faire parfois... 

Elle redoute les endroits confinés, (avec le coronavirus c'est pas gagné. )

Elle redoute les vents forts, pas gâtés en ce moment. Les eaux stagnantes,  ça c'est une plaie, les replis sur soi, nos manques de confiance, nos égoïsmes,  nos peurs légitimes. quoi .

Elle aime les sols bien drainés de vos grâces , de vos sacrements, de votre Eucharistie..

et puis le soir, quand on peut, on rend ses comptes, la journée finie. pas de quoi se vanter, le seul mérite qu'on aurait  eu n'étant pas de nous.

... 

Vers la onzième heure, il y aura peut-être le cru de l'année. Un bon Iroulégui du pays pour Pâques , avec le filleul. 

qui sait!

alors on chantera un éternel  nunc dimittis  , 

Saint Vincent , priez pour nous. 

Miserere mei Deus. 

 

 

 

 

 

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Rédigé par Philippe

Publié dans #spiritualité

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Publié le 30 Janvier 2021

 

Philippe, la gauche la plus radicale veut démolir cette croix de Cáceres. C'est un croisement de plus de 80 ans qui respecte parfaitement la loi! La croix est dédiée à tous ceux qui ont donné leur vie pour l'Espagne, sans exalter le franquisme ou tout autre régime politique. Mais le maire de Cáceres, Luis Salaya (PSOE), lui a fait rejeter une motion demandant de garder la croix. 

Ils ne se soucient pas de la "mémoire historique", ce qu'ils veulent, c'est mettre fin à toutes les croix en Espagne. Et le maire, en plus d'abattre la croix, a déclaré qu'il souhaitait construire un Bouddha de 40 mètres de haut dans la ville!

 

Ils sont obsédés par la poursuite des croyances religieuses! Dans la belle ville espagnole de Cáceres, il y a une place, appelée Plaza América, où il y a 82 ans une grande croix de 12 mètres a été érigée. Aujourd'hui, cette croix continue de se présenter comme un simple symbole religieux (ce qui n'est pas incompatible avec un État non confessionnel). Mais il y a certaines personnes qui détestent et rejettent les symboles et croyances religieuses. Comme le sénateur Carles Mulet, du parti laïc des Compromis. Ce sénateur a demandé au Sénat pourquoi cette croix n'est pas retirée de la Plaza América de Cáceres. Et le gouvernement de Pedro Sánchez y a répondu il y a seulement quelques jours. 

 

pétition + de 58 000 personnes l'ont signée.

 

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Rédigé par Philippe

Publié dans #divers

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Publié le 29 Janvier 2021

 

 

la Sainte Hostie consacrée a été retrouvée à l'intérieur de la boîte en verre viril et cerclée d'or, sans aucun dommage. Le tabernacle, cependant, était brisé.

 

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Rédigé par Philippe

Publié dans #divers

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Publié le 29 Janvier 2021

 

 

l'orgue 

je l' ai invité pour la messe dimanche ! hu hu hu attention c'est à 10 heures.. il va me jouer l'attende Domine et miserere ! 

splendide.. 

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Rédigé par Philippe

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Publié le 29 Janvier 2021

 

 

 

David: 

Quelle est votre citation favorite?

"Le Seigneur est le but de l'histoire humaine, le point focal des aspirations de l'histoire et de la civilisation, le centre de la race humaine, la joie de chaque cœur et la réponse à toutes ses aspirations."

Gaudium et Spes

David : 3ème année . Mount St. Mary's Seminary

La famille est l'un des lieux privilégiés où se cultive une vocationLa transmission de la foi aux enfants et la vivre naturellement à la maison brise les barrières au contact direct avec Dieu. Et si les vocations en Occident traversent actuellement une crise, il n'est pas rare de trouver des frères de sang qui ont choisi la voie religieuse.

Il est séminariste et elle a prononcé ses vœux en tant que religieuse dominicaine cloîtrée. L'éducation reçue à la maison et la foi transmise par leurs parents ont été fondamentales dans le développement de ces vocations.

​​​​​​David Langford est un séminariste du diocèse de Fort Wayne-South Bend, l' un des plus petits diocèses des États-Unis mais une pépinière de vocations. Ces dernières années, il y  a été ordonné de nombreux prêtres et bien qu'il ne soit un diocèse de seulement 160 000 catholiques, il y a plus de trente séminaristes.

Parlant de sa vocation, il explique que «selon mes parents, quand j'avais environ 3 ans, j'étais dans la voiture avec ma mère et je lui ai dit que j'avais entendu« Jésus me dire d'être prêtre ». Il a dit la messe dans son enfance, utilisé des biscuits et du jus pour le pain et le vin. J'ai même reçu un «kit de masse» pour ma première communion. Ce désir de prêtrise est resté avec moi tout au long du lycée. Je me suis impliqué dans le groupe de jeunes et dans le projet Melchizédek, un groupe de discernement pour les jeunes ».

 

De cette manière, ce jeune homme rappelle que lors de ses dernières années au lycée et après avoir visité le séminaire, il s'est entretenu avec le directeur des vocations et a demandé à entrer au séminaire. Déjà dedans - assure-t-il - «cela a été une expérience merveilleuse pour moi et j'ai grandi de différentes manières depuis mon arrivée. Certaines des meilleures années de ma vie ont été au séminaire. "

 

Déjà séminariste, cela a été une aide dans le processus vocationnel de sa sœur, qui en mars dernier, en pleine pandémie, a fait sa première profession de dominicaine en optant pour le nom de LucIe Marie de la Visitation .

Cette jeune femme raconte avec son frère que la famille a joué un rôle fondamental dans ces deux vocations. Le dimanche était consacré au temps en famille.  Enfants, leur père leur lisait souvent des histoires classiques comme Le Seigneur des Anneaux ou Treasure Island, et ils jouaient à des jeux d'apologétique.

Ils ont également participé à la prière en famille et chacun a prié un mystère du Rosaire. La nuit également, ils lisent des parties de la Bible. Ils ont envisagé cela en allant à la messe non seulement le dimanche, mais trois fois par semaine.

Sœur Lucie Maríe a également ressenti l'appel depuis qu'elle était enfant. Vers l'âge de 10 ans, elle a commencé à partager avec ses amis et sa famille son désir de devenir religieuse un jour.

Pendant ses études à l'Université de l'Indiana, la jeune femme était toujours en contact avec la communauté , leur faisant des visites occasionnelles et recevant la direction spirituelle d'un prêtre pour résoudre ses questions, ses doutes et la confirmation de sa vocation de religieuse cloîtrée.

Le 20 mars, elle a vécu le moment le plus important et bien qu'il ne puisse être accompagné de ses parents ou de son frère séminariste, ils étaient en totale communion. 

Sœur Lucie est entrée au Monastère Notre-Dame du Rosaire en juin 2017 pour commencer son discernement et sa formation. Après avoir traversé ses étapes d'aspirant, de noviciat et de postulat, elle a fait sa première profession, la dernière étape avant de prononcer ses vœux solennels.

 

Cette profession comprend les vœux d'obéissance, de pauvreté et de chasteté. « Par profession, la religieuse se donne à Dieu, à la suite du Christ et menant la vie évangélique dans l'Ordre.  Cette profession est l'expérience la plus complète de votre consécration baptismale et atteint son effet le plus complètement. Les années de vœux temporaires (pour un total de neuf ans de formation) lui permettent de se préparer à sa consécration totale (vœux solennels) ».

"Que cherches-tu?" demanda la prieure Mary Martin, tandis que Lucie se prosternait sur le sol du Chœur (Chapelle des Sœurs). "La miséricorde de Dieu et la vôtre ..." répondit-elle. Et avec cela, le rite a commencé.

 

 

fort Wayne et la fraternité saint Pierre. 

La famille Brian et Joan Eichman participent au rite traditionnel romain, également connu sous le nom de messe latine, à la paroisse Sacred Heart de Fort Wayne.

Les trois filles aînées de la famille de 11 personnes sont mariées et ont ensemble 15 enfants. Les trois plus jeunes enfants - dont un ensemble de filles jumelles - vivent toujours à la maison. Cinq des enfants vivent un appel à la vie religieuse.

L'aîné, le Père Gregory Eichman, FSSP, est ordonné prêtre de lz fraternité Saint-Pierre. Il est actuellement aumônier à la Mater Dei Latin Mass Community à Harrisburg, Pennsylvanie. Mère Marie Catherine du Christ est une religieuse carmélite à Kensington, en Californie. Nicholas, James et Christopher sont des séminaristes de la fraternité Saint-Pierre. Les frères et sœurs Eichman ont été scolarisés à la maison avec un programme catholique de la Seton Home Study School jusqu'au lycée et ont fréquenté Indiana University-Purdue University Fort Wayne avant d'entrer au séminaire.

Nicholas a dit: «Certains des premiers souvenirs que j'ai de mon enfance comprennent le réveil tôt pour la messe quotidienne et la prière du chapelet le soir. Ces pratiques familiales ont montré très clairement que la foi catholique était la plus importante dans la vie. Cela a rendu plus naturel l'entrée au séminaire pour voir si j'avais une vocation. La principale raison pour laquelle j'ai choisi de postuler à la FSSP est mon amour du rite traditionnel romain ainsi que l'excellente formation intellectuelle disponible ici au séminaire. Nos études philosophiques sont fortement ancrées dans Aristote tandis que nos études théologiques sont basées sur Saint Thomas d'Aquin. Le frère et la sœur aînés de James ont eu un impact sur sa décision de poursuivre une vocation. «Le même week-end de 2012, le père Eichman a été ordonné prêtre et ma sœur était vêtue de l'habit carmélite. J'ai eu la chance d'être présente à ces événements liturgiques émouvants, qui signifiaient qu'ils donnaient leur vie entièrement à Dieu. La solennité des cérémonies m'a fait comprendre l'importance de la vocation religieuse et le sacrifice nécessaire pour la poursuite. De plus, le fait de pouvoir rendre visite au père Eichman au moins une fois par un séminaire et de me familiariser avec la vie du séminaire m'a fourni une base solide pour prendre ma décision de postuler au séminaire.

 

Mère Mary Catherine est née simplement «Catherine». Elle est actuellement la sous-prieure de son monastère près d'Oakland. Elle est entrée au Carmel de Jésus, Marie et Joseph à Valparaiso, Nebraska, juste après avoir eu 18 ans. Environ un an plus tard, elle a été envoyée en Californie pour aider à démarrer une nouvelle fondation car le Nebraska regorgeait de vocations. Christopher a déclaré que la vie de ses frères et sœurs aînés à travers leurs vocations religieuses a été utile dans son cheminement vocationnel. «Mes frères et sœurs plus âgés m'ont donné des exemples forts des sacrifices et du désintéressement qui sont nécessaires pour conformer sa vie au Christ, a-t-elle dit. «Ils ont embrassé une vie qui est une folie pour la plupart des gens, y compris les catholiques. Cela vaut particulièrement pour Mère Catherine, dont la vie de religieuse contemplative est incompréhensible pour le reste du monde.

Ils m'ont donné le courage de répondre à l'appel de Dieu au mieux de mes capacités. "

David Langford, séminariste du diocèse de Fort Wayne-South Bend, et sa sœur Lucia Marie de la Visitation, OP, ont également été scolarisés à la maison. Le dimanche était consacré au temps en famille, ont-ils dit, et leur père leur lisait souvent des histoires classiques telles que le Seigneur des anneaux ou l'île au trésor. Un autre favori de la famille était un jeu d'apologétique appelé Friendly Defenders, et ils ont prié une dizaine du chapelet et lu une demi-heure de la Bible tous les soirs, ainsi que d'assister à la messe trois fois par semaine. Les deux semblent avoir été appelés à un âge précoce. Vers l'âge de 10 ou 11 ans,

Sœur Lucia Marie a commencé à faire part aux autres de son désir de devenir religieuse un jour. Elle a d'abord rendu visite à son ordre religieux, les religieuses dominicaines du Sommet à Newark, New Jersey, alors qu'elle rendait visite à sa famille à proximité. On lui a conseillé d'obtenir d'abord un diplôme universitaire. Pendant ses études à l'Université de l'Indiana-Université Purdue de Fort Wayne, elle est restée en contact avec la communauté, leur faisant des visites occasionnelles et recevant des directives spirituelles du Père Terrence pour régler ses questions, ses doutes et ses confirmations sur son appel. Son frère étudie pour la prêtrise au séminaire Mount St. Mary. Les groupes de frères et sœurs comme les Coonans, les Eichman et les Langford ont des systèmes familiaux enracinés dans une vie catholique cohérente. Ceux qui étaient les plus jeunes de leur famille disent que leur discernement de leur vocation a été inspiré, dans une certaine mesure, par le frère qui est entré avant eux. David a noté: «Dieu appelle celui qu’il appelle, et il est plus facile de répondre à l’appel de Dieu lorsque vous avez une famille qui vous soutient».

 

 

 pour petit frère, clear Creek. 

 

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Rédigé par Philippe

Publié dans #spiritualité

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Publié le 29 Janvier 2021

 

75 e anniversaire de la libération complète de Leningrad du blocus.

la situation redevient normale... enfin, une bonne nouvelle, on va retrouver nos petits russes ! 

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Rédigé par Philippe

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Publié le 29 Janvier 2021

 

 

requiescat in pace

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funérailles Samedi 30 Janvier .

 

 

Mgr Juan del Río Martín, archevêque d'Espagne Castrense et président de la Commission épiscopale pour les communications sociales, est décédé aujourd'hui vers 11h00 (heure locale) à l'hôpital central de défense de Gómez Ulla, en raison des maladies causées par le coronavirus.

L' archidiocèse de Castrense  rapporte que Mgr Juan del Río, 73 ans, a été admis à l'hôpital jeudi dernier et «depuis lors, son état s'est aggravé jusqu'à l'issue fatale survenue aujourd'hui. Les soins et le professionnalisme du personnel de santé n'ont pas réussi à empêcher la mort du prélat ».

«Les aumôniers militaires, les équipes gouvernementales de l'archidiocèse et du séminaire 'San Juan Pablo II', les séminaristes et le personnel de la Curie rejoignent la famille dans ces moments de douleur et élèvent leurs prières pour le repos éternel de celui qui était votre pasteur », ajoute la note.

Mgr Juan del Río Martín est né à Ayamonte (Huelva), le 14 octobre 1947. Il a étudié le baccalauréat à l'Institut du travail de sa ville natale et la philosophie et la théologie au Séminaire métropolitain et au Centre d'études théologiques de Séville (1973). Diplômé de l'Université sociale de Grenade (1975), il était licencié, diplômé et docteur en théologie de l'Université grégorienne de Rome (1979-1984).

Il a été ordonné prêtre le 2 février 1974 à Pilas (Séville), il a occupé, entre autres, les fonctions suivantes.

Il a occupé, entre autres, les fonctions suivantes: Formateur et professeur du Petit Séminaire de Pilas (1974-79), curé de Sainte-Marie la Mayor de Pilas (1976-79), vice-recteur du Grand Séminaire métropolitain de Séville ( 1984-87), professeur de théologie au Centre d'études théologiques de Séville et directeur spirituel de l'Hermandad de los Estudiantes (1984-2000).

Il a également été professeur de religion à l'Institut du Baccalauréat "Ramón Carande" de Séville (1984-87), curé de Nuestra Señora de Valme et bienheureux Marcelo Spínola de Dos Hermanas (1987). Délégué diocésain de la pastorale universitaire (1987-2000). Directeur du service d'assistance religieuse de l'Université de Séville et directeur du bureau d'information des évêques du sud de l'Espagne (1988-2000).

Il a été nommé évêque d'Asidonia-Jerez le 29 juin 2000 et a reçu la consécration épiscopale le 23 septembre de la même année.

Le 30 juin 2008, il a été nommé archevêque Castrense d'Espagne, archevêché dont il a pris ses fonctions le 27 septembre de cette année.

Le 22 avril 2009, il a été nommé membre du Comité exécutif de la Conférence épiscopale espagnole (CEE) et le 1er juin 2009 du Conseil central des Ordinaires militaires.

Selon le gouvernement espagnol, au 27 janvier, plus de 2,6 millions de cas de COVID-19 avaient été confirmés dans le pays.

L'université américaine spécialisée en médecine Johns Hopkins estime que plus de 57 mille personnes sont mortes du COVID-19 en Espagne.

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Rédigé par Philippe

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Publié le 29 Janvier 2021

 

 

 

 

 

 

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Rédigé par Philippe

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