Publié le 31 Janvier 2018

il regardait ce ciel désespérément gris....Chopin allait bien avec. !

 

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Rédigé par Philippe

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Publié le 31 Janvier 2018

 

pour Dmitry !

 

Il n' a que 13 ans et a un avenir dans le monde de la musique. Bien que son père soit violoniste et professeur au Conservatoire Tomás Luis de Victoria à Avila, Ivan a toujours aimé le trombone. Et quand il a commencé " il tombait et c'était très difficile" à cause de sa taille. Mais en le voyant maintenant manipuler le trombone, on dirait une articulation de plus de son petit corps.

2016 : Il s'appelle Iván Plaus Pigarev et il a reçu  le premier prix dans la catégorie des moins de 15 ans au VIème Festival - Concours International des Jeunes Interprètes "La noche de Madrid". Il a étudié au Conservatoire d'Avila, où son père enseigne et où il a Enrique Alberca comme professeur, qui a également remporté le prix du meilleur professeur dans le même concours.

Selon Enrique Alberca,"il a tout l'avenir devant lui et nous devons voir comment orienter sa carrière de tromboniste" puisqu'il est bien plus âgé qu'un enfant de son âge". Bien qu'il vient tout juste de commencer ses études professionnelles, il aurait le niveau pour passer les examens dans un conservatoire supérieur.

L'un des moments forts de sa carrière a été donné le 14 février, lorsqu'il a joué pour la première fois avec un orchestre, l'Orchestre Symphonique des Jeunes de Salamanque dirigé par Álvaro Lozano. Des auditoriums importants qu'il commence déjà à fréquenter depuis cette semaine, il joue dans l'Auditorio Nacional de Madrid avec le projet Talentos.

IVÁN PLAUS

 

Né à Avila en 2004

Depuis l'âge de 9 ans, il est membre de l'Orchestre Symphonique des Jeunes Ciudad de Salamanca et de la Banda Unió Musical de Benaguasil (Valencia).

 

Ce tromboniste d'Avila, âgé de 13 ans, étudie avec Enrique Alberca, chef de la section métal-vent de l'Orchestre Symphonique de la Ciudad de Salamanca et professeur au Conservatoire Professionnel de Musique "Tomás Luis de Victoria" à Avila. De plus, il reçoit depuis le tout début une formation avancée de Rafael Tortajada (tromboniste soliste de l'Orquesta del Palau de la Música de Valencia) et Antonio Zapata (tromboniste soliste de la Banda Municipal de Valencia).

 

Il a suivi des cours avancés avec Juan Real, Ricardo Casero et Alexander Nyankin, entre autres.

 

Il a remporté les compétitions internationales suivantes, remportant le 1er prix:

    Concours de jeunes interprètes du Festival Gnessin 2017 à Moscou.
    VIe Concours International de Jeunes Interprètes "La Noche en Madrid".
    I Concours International des Jeunes Performants de Vent en Métal, Sanganxa de Valencia


    I Concours International des Jeunes de St. Petersburg - Russie, dans ce même concours a également gagné une Mention Honorable pour la meilleure interprétation d'une œuvre d'un compositeur russe, avec le concert de Rimsky-Korsakov.

 

Il a été invité comme soliste accompagné par l'Orchestre de Chambre de Moscou au Festival International de la Fondation Spivakov (2016 et 2017) à Moscou et au Festival International Montecatini (2016 et 2017) en Italie.

 

Malgré son jeune âge, Ivan a fait ses débuts en solo avec l'Orchestre Symphonique des Jeunes de la Ciudad de Salamanca, dirigé par Álvaro Lozano. Puis sont venus d'autres concerts comme soliste: Orquesta Sinfónica del Reino de Aragón, Orquesta de Cámara de Moscou et Banda Unió Musical de Benaguasil.

 

Il a été sélectionné par l'Orquesta Sinfónica del Teatro Real de Madrid pour faire partie du "Proyecto Talentos", dans ses deux premières éditions.

 

Compositeur D. Emilio Mateu, composé et dédié à Ivan le poète symphonique Refugiados. Pièce créée le 11 juin 2017 au Centro de Artes Escénicas de Salamanca, avec un excellent accueil du public.

 

Le célèbre tromboniste et chef d'orchestre Christian Lindberg a choisi Ivan pour le cours d'été du festival Schleswig-Holstein 2017, étant le plus jeune élève parmi les 8 élèves.

 

Récemment, il a obtenu le Premier Prix au 16ème Concours National d'Interprétation Intercentres de Melómanos, en étant également sélectionné pour participer à la phase nationale en tant que représentant de Castilla y León.

 

 

 

 

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Rédigé par Philippe

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Publié le 31 Janvier 2018

y a autant de soleil qu'ici à hollywood, c'est bon . c'est pas loin d'Hollywood !

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Rédigé par Philippe

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Publié le 30 Janvier 2018

 

 

 

 

Dédicace pour notre organiste de service ! hasard !!!! transmis à l'intéressé ! c'est fou la providence quand même ... non ? j'en connais un qui va être content tiens ! c'est les prières, un cadeau  pour Ethan té ! belle église, je comprends qu'il soit triste. belle chorale bravo Ethan thank you very much. je n'en reviens pas ! un peu de bonheur quand même c'est pas tous les jours.

I'm gonna tell them not to let you down,  non mais sans blagues

"Cette communauté me manquera vraiment quand ils déménageront à San Fernando pour commencer dans leur nouvelle église. "

Merci!

 

Ethan !

 

 

 

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Publié le 30 Janvier 2018

Rédigé par Philippe

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Publié le 29 Janvier 2018

 

c'est beau Chopin !

De profundis clamavi ad te, Domine, Domine, exaudi vocem meam.

Fiant aures tuæ intendentes in vocem deprecationis meæ.

Si iniquitates observaveris, Domine, Domine, quis sustinebit ?

Quia apud te propitiatio est, et propter legem tuam sustinui te, Domine.

Sustinuit anima mea in verbo ejus, speravit anima mea in Domino.

A custodia matutina usque ad noctem, speret Israël in Domino.

Quia apud Dominum misericordia, et copiosa apud eum redemptio.

Et ipse redimet Israël ex omnibus iniquitatibus ejus.

Requiem aeternam dona eis Domine, et lux perpetua luceat eis.

 

Amen.

 

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Rédigé par Philippe

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Publié le 29 Janvier 2018

Rédigé par Philippe

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Publié le 29 Janvier 2018

 

Chaque nouveau matin, ils disaient :

" C'est aujourd'hui que je commence. " Que commençaient-ils ? L'oeuvre de la sainteté, leur marche vers Dieu. A leur avis, ils n'avaient pas été assez généreux, assez actifs, la veille.  Rien n'était fait encore de la grande oeuvre pour laquelle ils étaient en ce monde, ou si peu. Alors , ils s'appliquaient de leur mieux au devoir présent, à la série des occupations quotidiennes . Continuellement, ils ajoutaient à l'édifice de leur vie, aujourd'hui une pierre, demain une autre, veillant seulement à ce que toutes les pierres fussent de bon grain et mises à leur place . Loin d'eux l'illusion de croire que tout leur édifice spirituel pût être bâti une fois pour toutes, ce qui eût comporté, ni plus ni moins, la confirmation en grâce , beau privilège qui n'est guère de ce monde .

   Chaque nouveau matin, les saints disaient encore :" Ce jour qui luit est peut-être le dernier de notre vie; nous le passerons comme s'il était le dernier. "

 

 

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Rédigé par Philippe

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Publié le 29 Janvier 2018

Rédigé par Philippe

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Publié le 28 Janvier 2018

   La période du Carême est une des plus riches, liturgiquement, de toute l'année: on peut même dire qu'elle est, sous certains rapports, la plus riche et la plus complète.  Elle semble se caractériser par le fait qu'elle contient surtout des leçons de vie morale et de perfection.

   Pendant le Carême, il y a bien d'admirables et d'importants enseignements destinés à nourrir la foi: ils s'imposent, du reste, comme la source d'où découlent les exhortations pressantes exprimées, durant tout ce temps , dans les diverses formes du culte, et comme leur raison justificative.

   Au cours de cette sainte période, l'Eglise ne perd donc jamais de vue et ne cesse de rappeler à ses enfants le dogme primordial de la Rédemption et ceux qui s'y rattachent nécessairement : le péché originel, la tentation, l'épreuve, les sacrements etc... Mais la réalité de ce mystère impliquant pour nous des conséquences d'ordre moral immédiates, universelles et impérieuses, il fallait que celles-ci, dans la trame des textes et des cérémonies , eussent un relief plus accentué et apparussent sous de plus vives couleurs.

   Une note générale domine la liturgie du Carême. On la retrouve pour ainsi dire à chaque pas, et elle frappe vivement les esprits les moins attentifs aux choses religieuses: c'est la tristesse, manifestée notamment dans la couleur des ornements, la suppression des chants d'allégresse, les pratiques pénitentielles et même jusque dans la plupart des tonalités mélodiques du chant. L'Eglise veut qu'une tristesse salutaire et vivifiante règne , tout ce temps, dans nos âmes.

   Elle est motivée d'abord par le souvenir des souffrances et de la mort du Sauveur. Devoir de nécessaire participation à tout ce que le divin Maître a fait et enduré pour nous; ce devoir s'impose à nous en dehors de toute exhortation ou de tout précepte positif. Il ne faudrait jamais perdre de vue que tous les actes de la vie de Notre-Seigneur, surtout ses souffrances et sa mort, ont un rapport tellement immédiat avec notre vie personnelle, qu'en vérité ils deviennent nôtres.  Ils n'ont été accomplis que par amour pour nous et pour notre salut. La dignité de notre conscience, la valeur de toute notre vie morale et l'orientation de notre destinée en dépendent absolument . Ils rentrent, à ce titre, dans le cadre même de notre existence quotidienne. Ils nous intéressent infiniment plus encore que les évènements, si graves soient-ils, où nous jouons un rôle direct et qui nous touchent personnellement. 

   C'est une erreur funeste et trop répandue, de les considérer comme s'ils exerçaient en dehors du rayon de notre activité propre et comme si nous avions le droit d'en rejeter l'influence bienfaisante. Actiones sunt suppositorum, disent les philosophes, sans doute, les personnalités, celle du Sauveur et la nôtre, sont différentes, et quant à la dignité, un abîme infini, celui qu'il y a entre Dieu et toute créature, les sépare. Mais en raison des liens qui nous unissent à Jésus et qui font de nous ses membres, ses actes nous appartiennent aussi bien, quoique sous une forme différente, et cependant d'une façon plus intime que ceux qui émanent de nos vouloirs individuels ou qui s'imposent à nous du dehors.

   Ce serait trop peu de dire que Jésus n'est pas un étranger pour chacun de nous. Jésus nous touche de plus près que nulle autre créature au monde . Il est pour nous plus qu'un père, qu'une mère, qu'un ami, qu'un compagnon, qu'un époux; il est à la fois tout cela, et, en même temps , il est nous-mêmes, puisque dans l'ordre de la vie surnaturelle , - la seule qui compte, la seule vraie -, nous sommes une partie de lui-même. Nous ne pouvons nous étendre là-dessus, mais si l'on se rappelle la comparaison de la tête et des membres, tirée de saint Paul, et celle du cep et des sarments de la vigne employée par le Maître lui-même, on saisira mieux la portée de cette doctrine .

   Or, nous souffrons des souffrances des êtres qui nous sont particulièrement chers. Nous nous faisons un devoir de nous associer à leurs peines et de les partager. Et quant à nos propres douleurs, chacun sait jusqu'à quel point elles affectent notre sensibilité. Mais, hélas ! lorsqu'il s'agit de Jésus, le récit de ses douleurs, trop souvent , nous laisse aussi froids, aussi indifférents que celui des malheurs de Didon ou de la mort de Socrate. 

   Notre vie s'écoule sans contact intime avec la sienne. Comment expliquer une telle aberration? En raison des liens intimes, dont nous venons de parler, qui nous unissent au Sauveur, et indépendamment même de nos intérêts spirituels, qui y sont directement engagés, est-ce que ses souffrances et sa mort, endurées pour notre rachat et pour notre salut, ne devraient pas, si nous avions dans l'âme un peu de vraie charité, nous émouvoir infiniment plus encore que celles de nos amis et que nos épreuves personnelles. La véritable marque d'un amour sincère, c'est de partager, non pas les joies, mais les peines de ceux qui sont l'objet de notre tendresse.  Tel est, du reste le sens général de la liturgie: par un rappel constant des mystères de Notre-Seigneur à nos facultés sensibles et, par celles-ci à l'âme, elle nous facilite cette communion de nos pensées et de nos sentiments à toute sa vie de joies, de douleurs et de gloire, mais surtout à sa vie douloureuse. C'est à cette dernière que la liturgie du Carême nous associe particulièrement .

   La tristesse de cette période doit être causée , en second lieu, par le souvenir de nos péchés, et manifestée par la pénitence qui en est le fruit naturel. Si nous ressentons vraiment l'amertume de l'offense faite à Dieu, nous devrons nécessairement l'expier par la pénitence: pénitence intérieure qui est la contrition, et pénitence extérieure qui consiste dans la mortification corporelle.

    L'Eglise nous impose l'une et l'autre pendant le Carême: Jejunemus et ploremus ante Dominum, quia multum misericors est dimittere peccata :" Jeûnons et pleurons devant le Seigneur: car sa miséricorde est disposée à nous pardonner nos péchés. " Jeûnons, voilà pour les pratiques extérieures de mortification. Pleurons: les larmes sont le signe le plus expressif de la douleur intérieure de l'âme. La liturgie de ce temps insiste spécialement sur la pénitence corporelle parce que c'est celle que, pour des prétextes divers, on serait le plus tenté d'omettre ou d'atténuer outre mesure.

   Mais il y a une chose que l'on oublie trop et dont la méconnaissance rebute beaucoup de fidèles de ce devoir: l'Eglise cependant ne manque pas de nous la rappeler: c'est que notre pénitence doit être joyeuse et notre tristesse mêlée d'allégresse.

   Qu'on remarque bien le dernier mot de l' Epître de saint Paul " regardés comme attristés, nous sommes toujours joyeux ". 

Les tristesses de ce monde sont nécessairement déprimantes. Rien d'humain , en définitive ne peut en adoucir directement l'amertume. A côté de quelques joies, supposées même légitimes , qu'on recueille sur la terre, elles gardent entière leur nocivité naturelle . En dehors de Dieu, à proprement parler, elles ne trouvent pas des consolations, mais seulement des distractions, qui ne procurent qu'un oubli momentané de la douleur. C'est qu'elles se réduisent à une doctrine de mort: par elles - mêmes elles sont négatives et destructives. Leurs oeuvre propre est une diminution progressive de l'être humain.

   La tristesse chrétienne a bien le même nom, mais elle signifie une réalité très différente. Acceptée et pratiquée conformément aux enseignements de l'Evangile, elle est toujours transfigurée par la joie . Beati! Bienheureux ceux qui pleurent !

   Seul, le Christ pouvait formuler devant les hommes ce paradoxe apparent. Seul il pouvait montrer et donner le vrai bonheur dans la souffrance, parce que seul il apportait au monde une doctrine de vie, d'espérance et d'amour. Et en fait, on constate que plus une âme s'élève dans la sainteté, et plus elle ressent de joyeuse résignation dans les épreuves de toutes sortes. La pratique de la perfection dilate toujours le coeur au milieu des plus grandes tristesses. La joie, une joie toute divine, fait donc partie intégrante d'une vie vraiment fondée sur la Croix.

rp Cazes op +

 

 

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Rédigé par Philippe

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