Publié le 10 Novembre 2015

Rédigé par Philippe

Publié dans #spiritualité

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Publié le 10 Novembre 2015

 

 

comme sur la banquise, quoi ! normal une succursale.

happy birthday Mihail  .. !  c'est beau 18 ans .. !

Было замечательно!!!

 

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Rédigé par Philippe

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Publié le 10 Novembre 2015

 

bonne fête de saint Martin.

It's my friend's, n'a pas encore facebook; pas le temps. Vladimir qu'il s'appelle, on s'aime bien tous les deux, . très sympa. normal né un 7 octobre .. on ne peut être que bien. 1952 en plus les meilleurs quoi !  à quatre jours près ! the best.

Il aime beaucoup Chopin aussi et l'Arche et Daniel Kharitonov encore un fan quoi, - au moins, lui a assisté à un de ses concerts -   et Rocky évidement.

 

 

 

je vais finir par réclamer une commission, entretenir tous ses fans, pas rien ! non mais sans blagues

 

i Hope you're having a great day

 

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Rédigé par Philippe

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Publié le 10 Novembre 2015

Pourquoi donc cet engouement et cette vénération pour ce saint ? Comment expliquer que sa renommée universelle dure ainsi depuis plus de seize siècles ? Qui était donc saint Martin ? Pour répondre à cette question, il faut lire la Vita Martini, la Vie de Saint Martin écrite par Sulpice Sévère du vivant même de l'évêque de Tours, c'est-à-dire avant le mois de novembre de l'an 397.

Sulpice Sévère, ami de Paulin de Nole, est le contemporain de saint Augustin ( évêque d'Hippone depuis deux ans, il est en train de rédiger ses Confessions ), de saint Jérôme ( installé à Bethléem depuis dix ans ), de saint Ambroise ( qui meurt à Milan cette même année où Martin de Tours va disparaître à l'orée de l'hiver 397 ). Il était issu des rangs de l'aristocratie gallo-romaine d'Aquitaine. Il écrivit la biographie de l'évêque de Tours à Primuliacum, sur la route de Toulouse à Narbonne.

Dans cette biographie, les années d'enfance et de jeunesse de Martin sont dominées par un débat intérieur entre la fidélité aux obligations militaires de ce fils de vétéran et la fidélité à la vocation monastique, entre la fidélité au monde et à César et la fidélité au Christ.

Les chrétiens actuels, notamment les orthodoxes, croient trop facilement qu'il suffit de se donner la peine de naître pour recevoir un nom heureusement baptisé par un saint patron. Mais le saint patron, lui, il a bien fallu qu'il devienne un saint pour baptiser un nom préalablement païen ! C'est ainsi que Martinus est un surnom théophore dérivé du nom du dieu de la guerre : Mars. Avant saint Martin de Tours il y eut un évêque de Vienne ( avant 314 ) et un évêque gaulois qui signe au Concile de Sardique en 343, qui s'appelèrent, eux aussi, Martin. On peut penser que ce prénom martial était particulièrement en honneur dans les milieux d'officiers auxquels appartenait le père de notre futur saint.

En effet, les parents de Martin étaient païens, d'origine mi-slave, mi-celtique. Notre saint naquit en 317 dans une province romaine d'Europe centrale, en Pannonie, c'est-à-dire dans une partie de la Hongrie et de la Moravie actuelles, plus précisément encore à Sabaria, colonie romaine depuis l'empereur Claude, aujourd'hui Szombathely en Hongrie, à une centaine de kilomètres au Sud-Sud-Est de Vienne. D'abord simple soldat, son père devint tribun militaire. A ce titre, il commandait une légion et changeait fréquemment de garnison. C'est en Italie, à Pavie, au sud de Milan, que le jeune Martin reçut sa première éducation. Dès son enfance, il eut le désir de devenir catéchumène et souhaita se consacrer entièrement à Dieu dans la vie monastique. Malheureusement pour lui, son père ne l'entendait pas de la même oreille. Un fils de militaire, dans la société romaine de cette époque, ne pouvait être à son tour que militaire. A dix ans seulement, selon Sulpice Sévère -- cum esses annorum decem --, Martin s'enfuit donc du domicile paternel. Il chercha refuge dans une église et demanda à être reçu comme catéchumène. Ici, le biographe enjolive peut-être un fait historique bien réel et qui pourrait être le suivant : une escapade d'enfance aura amené le petit Martin à assister à une célébration liturgique dans une église de la communauté chrétienne de Pavie, peut-être même lors d'une synaxe liturgique spécialement destinée aux catéchumènes. Quoi qu'il en ait été au juste, cette fugue enfantine préfigure sa fuite du monde à l'âge adulte. Cependant, dénoncé par son père, Martin fut arrêté, enchaîné et dut se soumettre aux exigences du Conseil Suprême en revêtant l'uniforme de la légion. Il avait quinze ans : cum esses annorum quindecim. Le père de Martin n'attendit pas que son fils ait atteint l'âge légal, fixé à 19 ans, pour le remettre à l'autorité militaire. A cette époque, le métier militaire était devenu héréditaire. C'est ce qui explique que l'insoumission ait été particulièrement répandue chez les fils de vétérans, condamnés bon gré mal gré à la militia, c'est-à-dire au service militaire, au métier de soldat. Les fils de vétérans tentaient de se soustraire à d'interminables obligations militaires soit en s'enfuyant, soit en se cachant soit même en se mutilant volontairement.

 

suite.

 

 

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Rédigé par Philippe

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Publié le 9 Novembre 2015

 

 

 

"Si j'ai l'assurance, si j'ai la garantie que Dieu m'aime, tout le reste s'efface et s'évanouit, tout m'est indifférent ."

 

dom Delatte

 

 

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Rédigé par Philippe

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Publié le 9 Novembre 2015

 

 

 

C'est un peu grand chez vous, pas comme ici avec 3 vaches  et des prés à maïs , doit pas y avoir beaucoup de champignons mais bon!

  c'est pas comme à Moscou .. !

si petite japonaise veut venir égayer la vie d'un sexagénère merci de me contacter accepte toute proposition .

il a de la chance Daniel ! ..

 

j'ai toujours rêvé d'une  petite japonaise

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Rédigé par Philippe

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Publié le 9 Novembre 2015

 

quelle simplicité tous ces petits.. ! très beau; dommage il doit pas avoir facebook...

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Rédigé par Philippe

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Publié le 9 Novembre 2015

Rédigé par Philippe

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Publié le 9 Novembre 2015

 

 

Dans la ville de Mtskheta, à laquelle a été attribué récemment le statut de « ville sainte », une liturgie festive a été célébrée au monastère de la Transfiguration, où reposent les reliques de saint Gabriel. Des clercs et des fidèles venus de tout le pays étaient présents à l’église.

Après la liturgie, l’archimandrite Lazare s’est adressé aux fidèles, rappelant que le père Gabriel était le dernier grand spirituel a avoir vécu à l’époque des persécutions contre l’Église orthodoxe, et il est devenu le pont entre le passé et le présent, ayant préservé la tradition de l’orthodoxie authentique. « Il était le fils dévoué à la sainte Église et à son peuple.

C’était un fils martyr : il a tout supporté, subi les épreuves, les humiliations, les insultes, mais il les endura toutes comme une véritable chrétien », a dit le père Lazare dans son homélie. Saint Gabriel le fol en Christ a été canonisé par l’Église orthodoxe de Géorgie le 20 décembre 2012. Quant à l’Église orthodoxe russe, elle l’a introduit dans son calendrier le 25 décembre 2014. Le 22 février 2014 a eu lieu l’invention des reliques de saint Gabriel.

Cet événement a eu lieu en présence d’une foule immense de fidèles qui se tenait jour et nuit auprès du monastère. Les saintes reliques ont été transférées dans la cathédrale Svétitskhovéli puis, ensuite, à Tbilissi, à la cathédrale de la Sainte-Trinité. Celle-ci était ouverte en permanence: les fidèles venaient vénérer les reliques tant le jour que la nuit. À cette occasion, le patriarche Élie II s’est adressé aux fidèles par ces paroles : « Très souvent, les gens nous demandent ce que c’est que le bonheur. Ce qui se produit aujourd’hui en Géorgie, c’est cela le bonheur ! C’est la projection de la Lumière sur le pays et les hommes. C’est la descente de l’Esprit Saint. C’est notre transfiguration. C’est lorsque le bien règne et que le mal est chassé. C’est le pardon réciproque et l’amour ! Et tout cela nous a été apporté par le père Gabriel ! Un seul homme a transformé toute la Géorgie ».

De nombreux miracles étonnants ont précédé la canonisation du saint et ils continuent tout le temps. Tout récemment, au monastère de Samtavro, où reposent les reliques de saint Gabriel, l’image du saint est récemment apparue à l’endroit où elles avaient séjourné provisoirement (voir ici). Le patriarche Élie II a dit qu’il s’agissait d’un véritable miracle, et qu’il a même vu là les inscriptions. De nombreuses personnes qui croient en l’intercession et l’aide du saint, la reçoivent indubitablement, ce que racontent constamment les témoins de ces miracles étonnants.

 

source..

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Rédigé par Philippe

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Publié le 9 Novembre 2015

 

La communauté des Missionnaires de la Miséricorde est en plein développement. L’achat et l’aménagement d’un immeuble en centre-ville de Toulon sont une priorité pour elle aujourd’hui, afin de loger tous ses membres (actuellement quatre de ses séminaristes sont obligés de loger dans une maison prêtée par des fidèles)

Le projet :

Il reste encore 200 000€ à trouver pour l’achat de l’immeuble (sur 800 000). Après l’achat, il faudra encore aménager l’intérieur pour le rendre fonctionnel pour une vie de communauté, et restaurer certaines parties comme les combes.
 

Les travaux sont estimés à 150 000 €, soit un total de 350 000€.

La miséricorde est au cœur de la vie de l’Eglise. L’islam est l’un des enjeux majeurs des années qui viennent. Aidez leur communauté à annoncer la Miséricorde à tous…

 

Les Missionnaires de la Miséricorde :

La Société des Missionnaires de la Miséricorde existe depuis 10 ans. Elle compte aujourd’hui 17 membres, prêtres, frère et séminaristes. Cette communauté a été fondée par l’abbé Fabrice Loiseau, sous l’impulsion de Mgr Dominique Rey, et vit ses trois charismes – Miséricorde, Messe dans la forme extraordinaire, Mission spécialement auprès des musulmans – en pleine intégration dans le diocèse de Fréjus-Toulon.

 

SOURCE

le petit Placide ne peut qu'encourager ce genre d'initiative . dans ma boîte aux lettres comme partout, il y a tellement "d'aspirateurs à sous"..qui fonctionnent parfois à plein régime, quand des milliers de gens se serrent la ceinture  pour vivre et crèvent de faim,  ça frise l'indécence souvent, l'immoralité légalisée, "laissez venir à moi les petits sous " ..    alors

il est bon de savoir  aussi  faire ses bons choix en période de crise. .

 

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Rédigé par Philippe

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