splendide !

2019 : organiste, élève de l'Ecole sociale de musique de Świdnica, a remporté le premier prix du 9e Concours national d'orgue à Olsztyn.

Le voyage vers Olsztyn a commencé mercredi (20.03.2019) par un arrêt à Łódź, où Jakub, gracieusement offert par les professeurs de l'Académie de musique locale, a pu consulter ses interprétations des œuvres préparées pour le concours. Jeudi soir, il y a eu une répétition à l'orgue d'Olsztyn, où les auditions du concours ont eu lieu. Vendredi, en début d'après-midi, Cuba a présenté son programme au jury et au public de musique de chambre (principalement des professeurs et des étudiants). Nous ne pouvions pas attendre l'annonce des résultats, nous devions rentrer immédiatement après la représentation, car le lendemain dans la cathédrale à Świdnica Jakub jouait de l'orgue pendant les célébrations du jubilé diocésain. Il accompagnait le chœur, qui était dirigé par sa sœur aînée Marta Moneta. Nous avons reçu le message de gagner le concours par SMS grâce à l'un des professeurs qui est resté à Olsztyn jusqu'à la fin du concours.

Je voudrais également mentionner le concours d'orgue de l'année dernière en Roumanie, où il a remporté la troisième place. Il était le plus jeune participant, les autres organistes étaient déjà étudiants dans des universités de musique. Le voyage en Roumanie a été combiné avec un voyage d'orgue : deux étudiants de l'école de musique de Świdnica, étudiant dans la classe d'orgue de Maciej Bator, ont eu l'occasion de toucher plusieurs instruments dans les environs de Gdańsk. James et Timothy ont joué de l'orgue de la cathédrale de Pelplin, de la basilique Sainte-Marie et de l'église de la Sainte-Trinité à Gdańsk, de la cathédrale Oliwa, de l'église de Rumia (auditions de concours) et d'une petite église à Orle. Ils ont déjeuné à Sopot et "salué la mer" à Rewa.

Jakub est né à Świdnica le 31 décembre 2004. Il est élève de l'école primaire publique n ° 8 Cavaliers de l'ordre du sourire à Świdnica (classe VII actuellement).
En 2017, il a obtenu son diplôme avec mention (notes moyennes de 6,0 au cours des deux dernières années d'études). Ludomir Różycki, dans la classe de piano de Mieczysław Jarosławska . Il a complété le programme de six ans en cinq ans. Parmi ses succès au piano, notons: "Silver Hand" dans la lutte miniature des plus jeunes pianistes à nwidnica, prix annuels pour une présentation distinctive des cours de piano de la State Music School à nwidnica, grand prix au concours "Avec la danse à travers le monde" en confrontation avec Bach - Oława 2015, distinction au XVIIe Concours de piano Legnica - Legnica 2016, distinction individuelle du Centre d'éducation artistique Hearings - Wrocław 2016, diplôme de participation au XXIIe Concours national de piano de Pologne. H. Czerny-Stefańska in Żagań - 2016. De plus, Jakub était très actif - en tant que soliste ou accompagnateur - dans la grande majorité des événements musicaux organisés à l'école et à l'extérieur. Il est diplômé de l'école de musique du 1er degré en tant qu'étudiant modèle et possède des talents musicaux exceptionnels, ce qui se manifeste par la facilité d'acquérir le contenu du programme.

"Jakub Moneta , pianiste et organiste. Héritier créatif de la tradition des organes d'Świdnica, tant en tant qu'interprète - organiste de concert - qu'en tant qu'organologue et collectionneur. Ses jeux ont été écoutés par les invités les plus distingués de Swidnica et de nombreux mélomanes. Sur la base de ses riches collections historiques, des événements artistiques, des publications et des monographies sont créés. Étudiant des écoles de musique de Swidnica, lauréat de concours de piano, co-auteur d'enregistrements et de rencontres didactiques vulgarisant la haute culture musicale. "

Le garçon a dans son répertoire pour orgue plusieurs dizaines d'œuvres de difficulté variable, allant de différentes époques et styles de musique, allant de simples chorales et préludes baroques à des concerts et à des symphonies modernes pour orgues.

David, 32 ans, a fui la Guinée parce qu'il voulait se convertir au catholicisme. Réfugié en Sarthe, il raconte son incroyable périple où il a frôlé la mort à plusieurs reprises.

« C’est une voisine qui m’avait parlé de la religion catholique, ça m’a tout de suite fasciné. C’est alors que j’ai décidé de me convertir », raconte David sur un ton calme et bien posé.

L’homme de 32 ans vient de Guinée. Il est arrivé en France en 2017. Le 20 avril, comme trois autres adultes d’origine étrangère, il s’est baptiser par le père Bruno à l’église Notre-Dame de Sablé-sur-Sarthe (Sarthe).

En Guinée, la majeure partie de la population est de confession musulmane. « Lorsque j’ai annoncé à ma famille que je voulais quitter cette religion pour devenir catholique, elle l’a pris comme une véritable humiliation », se souvient avec douleur David.

Délicatement, il remonte sa manche et laisse découvrir des cicatrices sur son bras, stigmates de la violence qu’il a subi. « On m’a battu et jeté en prison pour ça ». David y restera durant deux mois.

Mais les conditions d’incarcération sont loin d’être les mêmes qu’en France. « On était entassés à plusieurs dans une cellule. » Les conditions d’hygiène sont déplorables. Il fait sombre. Son corps est recouvert de boutons. David tombe malade.

J’agonisais, les gardes ont vu que j’allais mourir.

Pour ne pas avoir à se charger de son cadavre, il est « jeté dans un caniveau en pleine nuit. C’est comme ça que j’ai pu sortir. Un ami est venu à mon secours et m’a soigné. C’est à cet instant que j’ai pris la décision de partir ».

Le jeune homme porte encore aujourd’hui les séquelles de ce passé tourmenté. « Quand j’adopte certaines positions, mon dos me fait souffrir », confie-t-il.

Commence alors un long et dangereux périple. De la Guinée, il parvient à rejoindre le Maroc en voiture.

On nous propose de traverser la Méditerranée, on nous dit qu’il faut seulement une heure, que c’est comme un jeu.

Sans crainte et n’ayant d’autres choix, il accepte. Mais avec « 300 € en poche, tu n’iras pas très loin », lui annonce le passeur. Jeune et seul, il a « la chance » d’être tout de même accepté à bord avec 32 autres migrants. Il est 4 h du matin.

Très vite, le Guinéen comprend que le canot pneumatique sur lequel il embarque ne tiendra pas longtemps face aux marées capricieuses de la Méditerranée.

Seul et ne sachant pas où loger, il se rapproche du père Bruno qui le conduit à l’abbaye de Solesmes. « C’est là que je loge en ce moment. » En contrepartie, David entretient l’église de Sablé et ses jardins.

Je n’ai pas pour ambition de fonder une famille. Je veux continuer à servir l’Eglise sans pour autant devenir moine. 

Un projet important l’anime, celui de fixer son expérience tragique dans un livre. « Je vais demander aux moines de corriger mon texte. J’aimerais même qu’il soit publié ». Une belle façon de catharsiser un passé douloureux qui le hante encore parfois.

actu.fr

bravo Constant, splendide!

 les consolations, c'est comme l'arc-en-ciel après la pluie, ça dure rarement longtemps.

los consuelos son como el arco iris después de la lluvia, raramente duran mucho tiempo.

c'est de mouahhh !

photos : lux lumen

   Dans l'effusion de sa tendresse et de sa joie, elle s'attache à lui, mais en quelque sorte désespérément, et semble ne plus vouloir quitter ces pieds bénis où elle a trouvé autrefois la conversion et le pardon, aujourd'hui la consolation souveraine. Le Seigneur ne s'y oppose pas; silencieux, il laisse un instant toute liberté à l'amour de Madeleine. Et lorsqu'il reprend la parole, c'est pour lui indiquer, affectueusement, qu'il y a autre chose à faire :" Non, ne vous attachez pas à moi comme pour me retenir, comme si vous deviez me perdre aussitôt, comme si cette entrevue était la dernière. Nous aurons l'occasion de nous revoir, car l'heure n'est pas venue encore pour moi de remonter à mon Père.  Mais elle viendra; et au lieu de demeurer ici , allez dire à mes frères :' Je monte vers mon Père, qui est votre Père, vers mon Dieu, qui est votre Dieu." Le Seigneur n'a donc pas changé: c'est toujours la même tendresse, la même intimité qu'au soir de la Cène.

dom Delatte.

¡qué idea para apegarse a la gente!  quelle idée de s'attacher à des gens. un joli prénom Madeleine !

on s'investit trop dans ses affections ... surtout quand on est en manque, pas vrai Padre! Ils ne peuvent pas vous donner ce que vous n'avez pas eu, papa, maman, ça ne se remplace pas..

quelle psychologie ! "il laisse un instant toute liberté à l'amour de Madeleine." elle a du bol !

comme avec les moines " ne me touchez pas !" alors ils font un pas en arrière.. c'est dur parfois. Surtout s'ils ont un physique agréable, communicatif , jeune et enthousiaste;  on aurait tendance à s'y attacher trop mais eux le sentent.

et puis de toute façon , un jour ça fait patatras ! on se plante, on n'a pas eu ce qu'on espérait, qu'on était peut-être en droit d'attendre , qui sait. Il lui a fallu sûrement un certain courage pour y renoncer à son Jésus! quelle misère!

Elle est très sympa cette Marie Madeleine je trouve, elle doit être née au mois d'Octobre, sûrement , sensible, attentionnée , délicate ! comme tous les gens nés au mois d'Octobre d'ailleurs. pas vrai, Louis?

en la fiesta de San Felipe, apóstol.

Le prochain 3 mai 2019, jour de la Communauté Européenne, l'Orchestre Européen des Jeunes et le Chœur de Madrid de l'OJEM, sous la direction d'Adriana Tanus, offriront à l'Auditorium National de Madrid, Salle Sinfonica, la Symphonie n° 9 de L.V.Beethoven, avec Alexandro Garcia dans la section des cuivres de cet orchestre.

Regina Cœli, laetare, alleluia,
quia quem meruisti portare, alleluia.
Resurrexit, sicut dixit, alleluia.
Ora pro nobis Deum, alleluia.
 

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   bon appétit !!!

Le nombre exact des poissons est marqué dans l'Ecriture comme un souvenir précis, et afin de montrer le soin attentif et reconnaissant que mirent les apôtres à constater leur aubaine.

   Selon sa coutume, saint Augustin est parti de ce nombre 153 pour échafauder une théorie arithmétique, analogue à celle du nombre 38, qui est, explique-t-il ailleurs, le nombre de l'infirmité. Le nombre 153 possède cette propriété d'être la somme de tous les nombres de l'unité jusqu'à son plus grand diviseur inclusivement : 1+2+3... +15+16+17 = 153. Tout ceci peut paraître assez éloigné de l'évangile; mais il faut se souvenir que la préoccupation des anciens était d'associer à toute réalité une idée chrétienne. de faire pénétrer la doctrine jusque dans la région lointaine des nombres abstraits; l'arbitraire alors ne leur déplaisait pas. Quoi qu'il en soit du symbolisme arithmétique de 153, l'indication de saint Jean nous invite à imaginer comment la scène évangélique peut être reconstituée: le Seigneur regardait faire, en souriant; saint Pierre prenait les poissons dans le filet; trois disciples les recevaient de ses mains; trois autres les rangeaient en tas de neuf, sur le rivage: c'était le moyen le plus facile pour compter exactement. Or, il y eut 17 petits tas de neuf poissons chacun, ce qui donne un total de 153.

   La capture une fois reconnue, le Seigneur invite les apôtres à leur repas du matin: " A table ! Venez déjeuner ...."

dom Delatte.