Publié le 22 Juin 2020

Rédigé par Philippe

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Publié le 22 Juin 2020

 

 

Le premier apôtre du Cœur de Jésus en Espagne.

Bernardo de Hoyos est né à Torrelobaton (Valladolid) le 21 août 1711. Il fit ses études dans les collèges jésuites de Medina del Campo et de Villagarcia de Campos. C’est dans cette dernière ville qu’il entra dans la Compagnie en 1726. I

« Je vois que mon cœur est en tout en mouvement vers son Dieu, comme le fer attiré par l’aimant. Il aime Dieu seul, il cherche Dieu seul, il aspire à Dieu seul…»

Le 3 mai 1733, alors qu’il avait 22 ans, il sent que le Seigneur lui confie une tâche qui deviendra l’objectif unique de sa vie : propager le culte de son Cœur comme moyen de sanctification personnelle et d’efficacité apostolique. Son ami le P. Agustin de Cardaveraz, qui avait à donner le sermon de la Fête-Dieu à Bilbao, lui demanda de lui envoyer quelques renseignements qu’il trouverait dans la bibliothèque de sa communauté, dans le livre « De cultu sacratissimi Cordis Dei Jesu » du P. Joseph Gallifet. A la lecture de cette œuvre, affirme-t-il, « j’ai senti dans mon esprit un mouvement extraordinaire, fort, doux et en rien impétueux ou irrésistible, et j’allai à l’instant devant le Seigneur dans le Saint Sacrement m’offrir à son Cœur pour coopérer autant que je pourrais … à la diffusion de son culte ».

La première chose que fit Bernardo fut de se consacrer au Coeur de Jésus Christ le 12 juin de cette même année 1733, avec la formule écrite cinquante ans auparavant par Saint Claude La Colombière. Mais il ne s’agissait pas d’une grâce reçue pour n’être vécue qu’intérieurement. Il sent bien que Dieu lui demande d’être un instrument pour faire parvenir à d’autres les richesses du Cœur du Christ.

Conscient de l’ampleur de la tâche, et étant donné que son devoir principal était de poursuivre sérieusement ses études théologiques, il choisit de constituer une équipe de travail avec des compagnons qualifiés et totalement engagés dans l’activité pastorale. Il pourra compter parmi eux sur la collaboration fidèle des deux pères, Juan de Loyola et Agustin de Cardaveraz. C’est le premier qui fut chargé de rédiger une œuvre où seraient exposées « l’essence et la solidité de ce culte ». Mais le schéma et l’âme de ce livre sont de Bernardo. Ayant surmonté bien des difficultés, l’ouvrage sortit finalement le 21 octobre 1734, sous le titre de « Trésor caché ».

 

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Rédigé par Philippe

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Publié le 22 Juin 2020

 

 

Le cardinal est revenu pour retrouver le ton habituel de ses interventions , il a souhaité ardemment que la nouvelle loi sur l'éducation qui est traitée au Congrès des députés ne soit pas approuvée. «Je souhaite que la loi sur l'éducation qui doit être approuvée ne soit pas approuvée . Les enfants ne doivent pas être éduqués en imposant des modèles de connaissances ou d'éthique. Je ne fais pas de politique, je ne peux pas me taire. Les nouvelles lois  mènent à une dictature
 
En ce moment, nous sommes confrontés au grand défi que nous avons et c'est l'avenir de l'homme dans cette éducation, qui doit être au service de l'homme dans une nouvelle société où les parents sont les premiers éducateurs. Dans la nouvelle loi, qui éduque est l'État et qui est responsable de l'éducation des enfants, ce sont les parents. Le reste d'entre nous, comme l'État, collaborons avec les parents à l'éducation de leurs enfants. Ne nous taisons pas, n'ayons pas peur. Dieu par-dessus tout, que la Vierge et saint Vicente Ferrier,  nous aident ».
 

«Ce sont des moments difficiles et il est temps de témoigner . Il n'est pas nécessaire d'avoir peur de quoi que ce soit. Nous sans crainte, sans crainte de quoi que ce soit, pour la défense de l'homme, de la famille, de la liberté religieuse, des droits humains fondamentaux, des pauvres, des maltraités comme cela se passe au Venezuela. »

« Faites-nous savoir que dans les moments difficiles, Dieu est toujours avec nous . Qui peut nous séparer de l'amour de Dieu? En Jésus-Christ, tous les dons de Dieu, son amour et sa grâce ont débordé. Courage, n'ayez pas peur, soyez courageux. Il y a des méchants. Ne vous taisez pas et ne cachez pas la lumière de l'Évangile, de l'amour de Dieu, de son pardon et de sa miséricorde, Jésus-Christ nous a rachetés, il nous a sauvés. Avec nos paroles et nos œuvres, nous rendons témoignage de Dieu », 

 Tout ce que je suis est la grâce de Dieu, les miennes sont des erreurs, des fautes, des omissions et des péchés. Je ne finirais jamais de lister les merveilles de Dieu en moi. Au cours de ma vie, j'ai pénétré quelle est ma devise épiscopale. Que ta volonté soit faite. Je ne veux rien de plus que d'en savoir de plus en plus sur le Christ crucifié. Vivez et annoncez le Christ. Ce que je demande pour tout le diocèse « 
 
n'ayez pas peur, ouvrez grand les portes au Christ, ouvrez les portes des familles. N'ayons pas peur de recevoir le  Christ, lui seul a les paroles de la vie éternelle. 
 

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Rédigé par Philippe

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Publié le 21 Juin 2020

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Publié le 21 Juin 2020

 

 

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priez pour nous !

 

 

 

Consultation de l’assemblée plénière de la Conférence des évêques de France par Monseigneur Rey sur la cause de canonisation d’Anne-Gabrielle Caron.


Extrait du communiqué de presse du 10 juin 2020 :
« Les évêques se sont prononcés favorablement pour l’ouverture de la cause en vue d’une éventuelle béatification de la Servante de Dieu Anne-Gabrielle Caron, présentée par Mgr Dominique Rey, évêque de Fréjus-Toulon comme "une figure de sainteté pour les enfants malades et leur famille". »

 

 

 

Un procès en canonisation se tiendra à partir du 12 septembre prochain à Toulon. Une nouvelle étape en vue de la béatification de cette jeune varoise, décédée d’un cancer en 2010.

Elle n’avait que 8 ans lorsqu’elle est décédée d’un cancer. C’était en 2010. La jeune varoise Anne-Gabrielle Caron pourrait bientôt être béatifiée. Si le chemin est encore long, les évêques de France, réunis en Assemblée plénière en début de semaine, ont donné leur accord, mercredi 10 juin, pour l’ouverture de la cause de béatification. 

 

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Publié le 20 Juin 2020

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Publié le 20 Juin 2020

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Publié le 20 Juin 2020

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Publié le 19 Juin 2020

 

 

En Autriche, un groupe de 21 médecins catholiques a fait appel à la Conférence épiscopale du pays pour  lever l'interdiction de facto de la communion dans la bouche, qui a été prononcée il y a quelques semaines en  raison de l'épidémie de coronavirus. 


Dans une lettre à Biko, les médecins se souviennent qu'en Italie, le  professeur Filippo Maria Boscia, président de l'Association des médecins catholiques d'Italie , a fait une déclaration claire à ce sujet en mai:

«En tant que médecin,  je suis convaincu que la communion des mains est moins hygiénique et donc moins sûre  que la communion dans la bouche. Ce qui est certain, c'est que les mains sont les parties du corps les plus exposées aux agents pathogènes.

Les médecins autrichiens sont d'accord avec cette évaluation et rappellent que le prêtre fait partie du rite traditionnel de se laver les mains dans la sacristie juste avant le début de la Sainte Messe.

"Seulement, il touche le calice et le ciboire. Après la consécration, il garde son pouce et son index - qu'il a rituellement lavés à nouveau avec de l'eau - jusqu'à après la communion, donc il ne touche à rien avec eux sauf l'hôte consacré. Les prêtres qui célèbrent le rite traditionnel ont une expérience dans l'administration de la communion orale et n'ont pratiquement jamais eu de contact avec la bouche du communiquant. Cependant, si cela se produit, le prêtre sera responsable et, compte tenu de la situation actuelle, il interrompra la livraison de la communion et se nettoiera la main ».

Les médecins soulignent également que lorsque la personne qui reçoit la communion est à genoux, il y a peu de risque d'infection par des gouttelettes, car la personne qui reçoit la communion est à genoux, tandis que le prêtre est debout.

"Par conséquent, dans cette procédure strictement réglementée, il y a  moins de risques d'infection que lorsque la communion des mains est administrée  (le donneur et le receveur sont au même niveau, donc le risque d'infection par des gouttelettes est plus grand, les mains des récepteur a déjà touché de nombreux autres objets, etc.) »

Les médecins rappellent également une lettre de la Congrégation pour le culte divin et la discipline des sacrements du 3 avril 1985:

"Le Siège apostolique adhère à la manière traditionnelle d'administrer la communion dans toute l'Église ...  La même Congrégation a affirmé en 2009 que les fidèles ont toujours le droit de recevoir la communion dans la bouche et qu'il n'est pas permis de la rejeter. Aucune exception mentionnée ici (comme une pandémie) »

Selon des médecins catholiques, le décret de la Conférence épiscopale autrichienne de mai de cette année conduit de nombreux prêtres et fidèles à un grave conflit de conscience:

«Selon les normes actuelles de l'Église, la communion dans la main continue d'être donnée sur la base du pardon, tandis que la communion dans la bouche continue d'être le moyen habituel de recevoir la communion. Les fidèles qui ont un souci sérieux et important de recevoir la communion dans leur bouche  (et de nombreux fidèles qui célèbrent la Sainte Messe selon le Novus Ordo sont également affectés ici) et qui ne suivent donc les règles de l'Église que lorsqu'ils respect, ils  sont toujours exclus de la communion, ce qui leur porte un grave préjudice »

C'est pourquoi ce groupe de médecins fait appel aux membres de la Conférence épiscopale pour corriger cette ordonnance et permettre à nouveau la communion dans la bouche, afin que tous les catholiques aient l'opportunité de recevoir le Très Saint Corps du Seigneur:

«Nous ne jugeons pas justifié de les exclure pour des raisons d'hygiène. Nous vous remercions à l'avance pour le traitement aimable de notre importante demande »

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Rédigé par Philippe

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Publié le 16 Juin 2020

 

 

 

   Dieu doit être le seul objet de l'amour; tel est le cri de la nature entière . " 

   " Toutes les créatures, Seigneur, me disent de t'aimer, chacune d'elles a un langage pour publier ta grandeur et ta bonté. La beauté des cieux, la clarté du soleil et de la lune , les feux des étoiles et des planètes, le cours des fleuves, la verdure des champs, l'éclat et la diversité des fleurs, tout ce qu'ont produit tes mains divines, ô Dieu de mon coeur, Epoux de mon âme, tout cela me crie de t'aimer. Tout ce que je vois me convie à ton amour, et me reprend quand je ne t'aime pas. 

   Je ne puis ouvrir les yeux sans apercevoir des témoins de ta sagesse, ni les oreilles sans entendre les témoins de ta bonté; tout ce que tu as fait , Seigneur , m' apprend qui tu es.

   Toute la création révèle ton amour; l'Ecriture , en parlant d'elle, dit que l'esprit de Dieu flottait sur les eaux: l'amour divin flotte au-dessus de toutes choses, les gouvernant par sa douce loi. Tout part de cette source vive. Il donne la beauté à tout ce qui existe, et si la vue de notre âme n'était pas obscurcie par les nuages des passions et de l'amour-propre, la première chose qui la frapperait dans la création serait l'amour du créateur. 

   Si la terre me porte et me nourrit, l'amour est le bon jardinier qui le lui a commandé en la créant. Si l'air me rafraîchit et me permet de respirer, c'est l'amour  qui le lui a ordonné. Si l'eau nous est utile, nous fournit ses poissons, court impétueusement vers la mer d'où elle est sortie, c'est pour obéir au commandement de l'amour. Si le feu donne sa chaleur, le ciel sa lumière et ses influences pour produire dans la terre des substances diverses, tout cela est à mon usage, à l'usage de l'unique ami que l'amour s'est ménagé sur la terre. 

   Que sont, ô mon Dieu, les éléments, les oiseaux, les animaux, les cieux et les planètes , sinon des charbons ardents avec lesquels tu mets le feu à nos coeurs? Que sont le soleil, la lune, les cieux et la terre , sinon des joyaux que la main répand pour nous faire connaître ton amour?

   Chaque matin, ô mon âme, tu trouves à ton réveil l'univers entier qui t'attend pour te servir, et pour qu'en revanche tu paies en son nom la dette de libre amour que seule tu dois à ton créateur et au sien. Toutes les choses t'excitent à l'aimer, toutes te demandent de remplir leur obligation. La voix universelle de la création t'y invite, et proclame sa majesté, sa beauté et sa grandeur. Les cieux, Seigneur , racontent ta gloire, le firmament annonce les oeuvres de tes mains, et les hommes sont inexcusables de ne pas l'ouïr. Le ciel silencieux manifeste ta gloire et nous apprend quel sera le séjour de tes élus, puisque tu découvres déjà tant de merveilles à des yeux mortels. 

   Quelle richesse est la tienne, toi qui te sers de lumières si riches! Quel art a pu produire un travail si exquis, une clarté si vive, des influences si diverses, des mouvements si variés sans aucune erreur? 

   Job a raison de demander: Qui racontera l'ordre des cieux et dira leurs mouvements ?

   O mon coeur alourdi, comme le désir de contempler tant de grandeur te soulève jusqu'aux demeures célestes! Combien grande est la maison du Seigneur, combien vaste le lieu où il réside ! 

   Je verrai les cieux, oeuvre de ses mains, et la lune et les étoiles qu'il a créées. Oui, tout ce que je vois, ô Dieu, me commande de t'aimer.

Et  j'en puise en moi-même un nouveau motif, quand je me tourne vers ce petit monde, qui est l'homme, et que je plonge mes regards dans mon âme.

   J'entends le psalmiste qui dit :" En moi je connais ta science admirable . De la connaissance de moi-même je passe à la connaissance de la profonde sagesse. C'est pourquoi ton prophète Isaïe dit aux pécheurs :" Tournez-vous vers votre coeur, méchants. En vous-même, vous verrez qui est votre Dieu. " 

   Oui , il est contre nature de ne pas l'aimer, ce Dieu créateur et providentiel. La brute est reconnaissante d'un bienfait: l'homme seul refuse  à son Maître l'obéissance et l'amour; seule, la créature raisonnable se récolte contre son Dieu. Elle est née pour commander aux bêtes, et les bêtes lui enseignent son devoir d'amour et de gratitude! Que dis-je? La nature même inanimée le lui apprend. Si un peintre avait tracé sur la toile une figure d'une grande beauté, qu'il eût pu lui donner la vue et le sentiment pour se voir et connaître son auteur, combien cette figure ne l'aimerait-elle pas? Que ferait-elle sinon de chérir, de bénir, de glorifier et d'honorer celui qui l'aurait faite si belle, si admirable et si admirée? Ne serait -elle pas jour et nuit occupée à lui rendre grâces? 

   Et toi, mon âme, qui n'es pas seulement l'oeuvre d'un peintre merveilleux, mais sa propre image, tu ne le bénirais pas, tu ne l'aimerais pas sans cesse !

   Il est ton ami, le plus sûr, ton libérateur, ton rempart, ton refuge, ta fin dernière et comme le pain qui doit te rassasier, hartura, il est la beauté incorruptible, éternelle, beauté qui ne passe pas comme la fleur éphémère de la beauté terrestre. Il est la bonté, il est le souverain bien : si le bien est l'objet de la volonté, pourquoi mon coeur ne t'aimerait-il pas de toutes ses forces, ô mon Dieu ?

fray Diego de Estella. 

 

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