Publié le 27 Août 2009

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Publié le 24 Août 2009

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Publié le 24 Août 2009







j'adore, grandiose.. beatiful .









Bonjour Philippe,
Très heureux de ton message, je suis en train de finir un truc de dingue entre l’atelier , le jardin et la salle d’accueil qui sert d’entrée du jardin ,de galerie et de salle de réception ( voir 1001 salles),
Un boulot de fous, nouveau site: andré .







      superbe ! que de souvenirs. ah c'est pour cela, cet attrait vers le for the beauty..
la même inspiration tu vois ! je vois ce qu'il me reste à faire ! ça existe la communion des saints... !

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Publié le 23 Août 2009

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Publié le 23 Août 2009





















photos petit placide.


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Publié le 23 Août 2009



Clear Creek monastery


c'est du béton !!!!




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Publié le 23 Août 2009





‘Si les hommes savaient ce qu’est vivre dans la grâce, ils ne s’effraieraient d’aucune souffrance et pâtiraient volontiers toute peine, parce que la grâce est le fruit de la patience’ ».

« Elle mourut à 31 ans en 1617, après une existence brève imprégnée de privations et de souffrance, en la fête de l’apôtre saint Barthélemy, dont elle était particulièrement dévote, parce qu’il avait souffert un martyre extrêmement douloureux », a précisé le pape.

Rose naquit à Lima, au Pérou, le 20 avril 1586, et reçut au Baptême le nom d’Isabelle. Sa mère, penchée sur son berceau, ayant cru apercevoir une rose épanouie sur son visage, s’écria : « Désormais, tu seras ma ‘Rose’ », changement de nom qui fut confirmé par la Sainte Vierge dans une vision qu’eut plus tard la jeune fille.

La vie de cette petite sainte a été une suite ininterrompue de souffrances volontairement acceptées et héroïquement supportées. Dès son bas âge, Rose comprit que la vraie sainteté consiste avant tout à accomplir ses devoirs d’état. Une source de difficultés lui vint de concilier l’obéissance à ses parents avec la fidélité aux appels intérieurs dont le Ciel la favorisait. Elle s’ingénia à trouver le moyen d’obéir à la fois à Dieu et à sa mère. Décidée à ne chercher à plaire à personne qu’à Dieu, elle portait néanmoins une couronne de fleurs imposée par sa mère ; mais elle sut y cacher à l’intérieure une aiguille qui faisait de cet ornement un instrument de supplice.

À l’exemple de sainte Catherine de Sienne, Rose se voua à une vie de pénitence. Dès son enfance, elle s’exerça au jeûne et put le pratiquer à un degré héroïque. Elle ne mangeait jamais de fruits. À six ans, elle jeûnait le vendredi et le samedi. À quinze ans, elle fit voeu de ne jamais manger de viande. Plus tard, elle ne mangea qu’une soupe faite de pain et d’eau, sans sel ni autre assaisonnement. Toutes les nuits, elle se frappait cruellement avec des chaînettes de fer, s’offrant à Dieu comme une victime sanglante pour l’Église, l’État, les âmes du purgatoire et les pécheurs. Non contente du lit de planches sur lequel elle reposa longtemps, elle se fit un lit avec des morceaux de bois liés avec des cordes ; elle remplit les intervalles avec des fragments de tuiles et de vaisselle, les acuités tournées vers le haut. Rose coucha sur ce lit pendant les seize dernières années de sa vie.

La vraie sainteté ne réside pas dans la pénitence du corps, mais dans celle du coeur, qui est impossible sans l’humilité et l’obéissance. Toutes les austérités de Rose étaient soumises à l’obéissance ; et elle était toujours prête à tout abandonner. On s’étonnera que ses directeurs aient pu approuver dans une si frêle enfant d’aussi cruelles macérations ; mais il faut savoir que chaque fois que des confesseurs voulurent s’y opposer, il en furent empêchés par une lumière intérieure.

Toute la personne de Rose, défigurée par la pénitence, attirait l’attention du public et la faisait vénérer comme une Sainte. Désolée, elle eut recours à Dieu, afin que ses jeûnes n’altérassent pas les traits de son visage. Chose admirable ! Elle reprit son embonpoint et ses vives couleurs ; ses yeux se ranimèrent. Aussi arriva-t-il qu’après avoir jeûné tout un Carême au pain et à l’eau, elle rencontra des jeunes gens qui se moquèrent d’elle en disant : « Voyez cette religieuse si célèbre par sa pénitence ! Elle revient sans doute d’un festin. C’est édifiant, vraiment, en ce saint temps ! » Rose en remercia Dieu.

La charité de Rose pour le salut des âmes était en proportion de son amour pour Jésus-Christ. Elle ressentait une poignante douleur en pensant aux âmes qui se perdent après avoir été si chèrement achetées. Elle pleurait sur le sort des Chinois, des Turcs, et des nombreuses sectes hérétiques qui désolaient l’Europe.

Rose mourut le 24 août 1617, à l’âge de trente et un ans.

 

(ZENIT.org)


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Rédigé par philippe

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Publié le 23 Août 2009

 

 


Notre Société repose sur quelques grands principes, semences d'anarchie, tels que :

 

· Le consumérisme : Il faut en profiter maintenant et le plus

possible ! Je choisis, je me sers et je laisse tomber ! il y a du Hadopi là-dessous.. 

 

· L’individualisme : Chacun pour soi ! ça je connais...

 

· Le relativisme : Il n’y a plus de vérité ! C’est moi qui décide ! (on connait pareillement le relativisme tradi, ou moderno, on prend ce qu'il nous convient du magistère, on fait le tri, après décision de la base. Si la base dit oui, c'est bon,on reçoit l'enseignement de l'Eglise suivant ce que disent les petits papes, chefs de file.   )

 

· Le pluralisme : Il y a des vérités, je choisis ce qui me plait ! cela rejoint le relativisme..

 

· L’utilitarisme : J’ai besoin de toi je te trouve ; je n’ai plus besoin de toi je t’oublie !

(tous tombés dans le panneau à plus ou moins grande échelle..! mais il y a des pros en la matière. alors on aurait tendance à rendre pareil. Expérience de ces trois dernières années,

du vécu. On sait ce que c'est...(pas vrai Eric ! .) et le reste. Un grand mal du siècle, certains ne vivent que comme ça. Pas besoin de faire saint Cyr. En religion on sait se servir aussi des évêques quand il le faut pour la bonne cause! En Vendée, il y a du préfabriqué sur mesure !


· Le matérialisme : Avoir c’est être, le bonheur est dans la possession matérielle ; je ne crois qu’à ce que je vois !

 

· La performance : Réussir à tout prix ! ... choix sélectif des performants. !  rejet des anciens, des vieux, des aînés... le rôle du pole emploi! 


Privé de toute référence à un au-delà de la matérialité de sa vie, à quelque chose qui le dépasse, à une référence objective, il ne sait plus (et parfois il ne veut plus) faire des efforts sur lui-même qui lui permettraient d'accomplir ce qu'il est, ce pourquoi il est fait et d'atteindre ainsi sa propre perfection humaine, en s’imposant, par exemple, des renoncements qui lui permettraient d’atteindre un bien, plus grand que la seule satisfaction de son égo.

 

Se croyant être la source et la fin de sa propre existence, se pensant tout-puissant, son propre dieu, étant soi-même l’objet de ses préoccupations, il se renferme sur lui-même, évacuant de sa vie tout ce qui pourrait le remettre en question et lui ouvrir l'esprit sur le véritable sens de sa vie, sur ce qu'il est, sa nature et son identité, et ce pour quoi il est. Privé d'une référence objective à laquelle il peut se fier et grâce à laquelle il peut se corriger, il devient comme prisonnier de lui-même, de ses pulsions, de ses passions.

 

Il s’est posé comme étant le principe et la fin de sa propre existence : l’homme se veut être dieu et renie le fait qu'il reçoit sa vie d'un autre, qu'il ne se la donne pas à lui-même. Il renie son état de créature. C'est le Péché Originel, qui, comme une maladie héréditaire de l'âme, s'est transmis à toute l'humanité ! Tout part de l’homme et tout y retourne. L’éthique devient relative à ce que l’homme définit en fonction de lui-même : L’homme est la mesure de toute chose ! disait Protagoras.

 

Toutes les valeurs humaines qu’il avait reçues de ses pères sont remises en question, souvent rejetées pour être remplacées par des « valeurs » qui ne sont en fait rien d’autres que des règles de conduites pour satisfaire son égo, au mépris du bien commun, évidemment, et de la Vérité ! La notion même de vérité est rejetée au profit d’une notion plus subjective, égoïste et pragmatique... tout est remis en question !

 

L'amour même est fragilisé et, bien souvent, il est synonyme d'accaparement, de possession : j'aime l'autre pour moi, pour ce qu'il m'apporte, mais il n'y a plus de don de soi : j'aime l'autre pour lui-même. Nous trouvons là une des raisons principales pour laquelle tant de couples se séparent, tant d'enfants se retrouvent malgré eux ballotés chez l'un puis chez l'autre, sans plus d'environnement stable, de repères, de valeurs, d'éducation, engendrant ainsi beaucoup de solitude, de rancunes, de violences, de suicides, de dépressions,...

 

Chaque fois que la liberté, voulant s'émanciper de toute tradition et de toute autorité, se ferme elle-même aux évidences premières d'une vérité objective et commune, fondement de la vie personnelle et sociale, la personne finit par prendre pour unique et indiscutable critère de ses propres choix, non plus la vérité sur le bien et le mal, mais seulement son opinion subjective et changeante ou même ses intérêts égoïstes et ses caprices...

Avec cette conception de la liberté, la vie en société est profondément altérée. Si l'accomplissement du "Moi" est compris en termes d'autonomie absolue, on arrive inévitablement à la négation de l'autre, ressenti comme un ennemi dont il faut se défendre. La société devient  un ensemble d'individus placés les uns à coté des autres, mais sans liens réciproques : chacun veut s'affirmer indépendamment de l'autre, ou plutôt veut faire prévaloir ses propres intérêts... Ainsi disparaît toute référence à des valeurs communes et à une vérité absolue pour tous.

(Jean-Paul II, Evangelium Vitae, n° 20)


L'homme n'est alors considéré qu'en fonction de son utilité, de ce qu'il peut rapporter, produire,... Et s'il ne m'intéresse plus, alors je peux m'en débarrasser !!

 

Noyé dans ce relativisme, moral, philosophique et spirituel, sans plus aucun autre repère que soi-même, l’homme d’Occident assume une existence sans but bien défini, ne sachant pas d’où il vient, qui il est, ce qu’il est et ce pourquoi il est. Il vit dans une sorte de brouillard existentiel qui ne lui permet plus d’avoir une claire vision de lui-même, des autres et de son environnement.

 

Enfermé dans ces ténèbres, l’homme d’aujourd’hui se contente de plaisirs éphémères qui ne comblent pas son profond désir de béatitude et noie sa mélancolie dans des compensations destructrices comme, l’alcool, la drogue, l’imagination (la mythomanie, les rêves,... encouragés par la télévision), la débauche, le tabac... Plus que jamais, il se ment à lui-même et aux autres. On accumule les plaisirs mais on n'atteint pas le bonheur !

 

 

 


 


 

 

 

 

 

 


 

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Rédigé par philippe

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Publié le 22 Août 2009



Sur sa tête une couronne de douze étoiles, car elle est Reine.

"La reine a proprement parlé c'est l'épouse du Roi, qui, sans avoir l'autorité souveraine, partage à titre de femme, d'épouse, avec son époux, tout ce qui fait la vie du Roi, y compris le bien même de la nation, qui est un des éléments caractéristiques de l'intimité conjugale du Roi et de la Reine.

Et Pie XII définit aussi la Royauté de Marie, qu'il nous présente à la fois comme une Royauté d'excellence, assurant à Marie une dignité royale, et comme une Royauté d'efficience qui la rend participante du Gouvernement du Christ-Roi:
Sans nul doute, seul Jésus-Christ, Dieu et homme, est Roi, au sens plein et absolu du mot; Marie toutefois participe aussi à sa dignité royale, bien que d'une manière limitée et analogique, parce qu'Elle est la Mère du Christ Dieu et qu'Elle est associée à l'oeuvre du divin Rédempteur dans sa lutte contre ses ennemis et dans son triomphe remporté sur eux tous.
En effet, par cette union avec le Christ-Roi elle atteint une gloire tellement sublime qu'elle dépasse l'excellence de toutes les choses créées: de cette même union avec le Christ, découle la puissance royale qui l'autorise à distribuer les trésors du Royaume du divin Rédempteur; enfin cette même union avec le Christ est source de l'efficacité inépuisable de son intercession maternelle auprès du Fils et du Père."

T.R.P. dom Roy
Fontgombault.




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Rédigé par philippe

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Publié le 22 Août 2009



à ceux qui ont eu la chance d'avoir une sortie, bonne sortie à ceux qui ne sont pas encore rentrés, et bonne continuation à ceux qui ne sont ni sortis ni rentrés.





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Rédigé par philippe

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