Publié le 18 Juin 2016
très beau match ! c'est à Bayonne, splendide. j'arrive ! enfin un air du pays, un petit basque ça manquait au palmares... , trop sympa. terrrrible me donne envie de partir lundi !! alalala méchant garçon va.
« L'homme doit être tout à fait sûr qu'à chaque instant Dieu le regarde du haut des cieux » Saint Benoît
Publié le 18 Juin 2016
très beau match ! c'est à Bayonne, splendide. j'arrive ! enfin un air du pays, un petit basque ça manquait au palmares... , trop sympa. terrrrible me donne envie de partir lundi !! alalala méchant garçon va.
Publié le 17 Juin 2016
wonderful ! faut le faire venir en France non mais sans blagues. Extraordinaire, je l'aime beaucoup .
Publié le 17 Juin 2016
Ordination sacerdotale
Samedi 25 juin à la Basilique Notre-Dame d’Evron
La Communauté Saint-Martin a la joie de vous annoncer l’ordination sacerdotale de Don Antoine STOREZ, diacre à Saint-Raphaël depuis septembre 2015
La famille paroissiale sera représentée par Don Stéphane et Don Henri.
Une quête sera organisée pour lui offrir ses ornements sacerdotaux.
ORDINATIONS SACERDOTALES ET DIACONALES à la Basilique d’Évron seront ordonnés prêtres
don Bertrand de Castelbajac, don Antonin Dichamp, don Antoine Storez, don Léonard de Corbiac, don Adrien Alric, et seront ordonnés diacres Pierre Gazeau, Xandro Pachta-Reyhofen, Phil Schulze Dieckhoff, par son Excellence Monseigneur Jorge Carlos Patrón Wong,
secrétaire chargé des séminaires pour la Congrégation pour le Clergé.
La Première Messe de Don Antoine sera célébrée à la Basilique Notre Dame, le dimanche 3 juillet à 10h30
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Dimanche 26 juin à 15h30 :
Stanislas Delcampe, diacre, sera ordonné prêtre pour le diocèse de Rouen par Mgr Dominique Lebrun.
Cathédrale Notre-Dame.
ROUEN
mon Dieu, donnez-nous beaucoup de prêtres,
de saints prêtres.
diocèse de Chartres .
13 Juin 2016
cathédrale de Montauban
dimanche 26 juin
16 heures,
ordination sacerdotales
Jean-Pierre Daynes
prêtre
et
Jean-Louis Mothe.
diacre en vue de la prêtrise.
Cathédrale d'Albi
M. l’abbé Gabriel CASAS, sera ordonné prêtre en la cathédrale Sainte-Cécile
le dimanche 26 juin à 16 heures
par Mgr Jean LEGREZ.
Cathédrale de Metz .
Le dimanche 26 Juin 2016,
à 15 heures, en la cathédrale Saint-Etienne de Metz, Noël Bado et Hervé Rollin seront ordonnés prêtres par Monseigneur Lagleize.
Antoine Yakpo-Ossobe sera également ordonné diacre en vue du sacerdoce presbytéral.
diocèse d'Angers.
Samedi 25 juin
le diocèse d’Angers accueillera Guillaume Bourcy et Stéphane Poirier dans l’ordre des diacres en vue du sacerdoce. La célébration se déroulera le 25 juin à 16h30 en l’église des Rosiers-sur-Loire.
Chacun est convié à se rassembler pour cette ordination.
cathédrale d'Orléans
Le dimanche 26 juin à 16h
Pour le service du Christ et l'annonce de l'Evangile,
par l'imposition des mains
et le don du Saint Esprit,
Monseigneur Jacques Blaquart,
ordonnera prêtre
François Madika,
de la communauté de l’Emmanuel,
et ordonnera diacre
en vue du ministère presbytéral
Julien TELLIER,
Cathédrale d'Amiens.
Ordination sacerdotale
de Gauthier Dacar
Par l’imposition des mains et le don de l’Esprit-Saint,
Monseigneur Olivier Leborgne
ordonnera Gauthier Dacar prêtre pour le diocèse d’Amiens.
le Dimanche 26 juin 2016 à 15h30 en la cathédrale Notre-Dame d’Amiens.
Cathédrale de Rennes .
Dimanche 26 juin
Monseigneur Pierre d’Ornellas, Archevêque de Rennes, ordonnera prêtre
Guillaume CAMILLERAPP
le dimanche 26 juin à 15h30,
en la cathédrale Saint Pierre de Rennes.
Publié le 17 Juin 2016
Publié le 17 Juin 2016
very nice ! viva Roumania. merci Silviu.
ô mon fils écoute, comme dans la règle de st Benoît ; fait son testament le pauvre, pour la fête des pères, c'est pas la joie. hu hu hu . pauvre Carlo, il meurt son papa à la fin, snif.
don Carlo c'est pas la communauté st Martin, faut pas tout mélanger.
Publié le 17 Juin 2016
COMMUNIQUE OFFICIEL
Une photo de la cathedrale d'Orleans illuminée aux couleurs arc en ciel circule sur internet. Ils'agit d'un photo-montage facile à réaliser avec un logiciel de type photoshop. La mairie d'Orléans, qui gère l'illumination de la cathédrale, n'a jamais réalisé la mise en lumière montrée par cette photo truquée.
On est en droit aussi d'attendre des excuses de la part des sites qui ont lancé cette "information". M'est avis que l'attente sera longue.
XA
comme beaucoup d'autres choses ! hélas . on est plus à ça près depuis le temps ! on est habitué à ce genre de procédé. le jour où vous verrez ces gens là faire des excuses, il est pas venu . c'est comme leur demander d'être honnête. ça va pas ensemble.
j'ai trop ri.. seule réponse:" c'était de l'intox ! " fallait le faire ce coup ci ! jamais j'ai vu ça ! quelle médiocrité franchement .. la honte . ça va être de la faute des autres encore .. alala faut vraiment prendre les gens pour des c...
Publié le 17 Juin 2016
en ce mois de Juin, nous lui confions toutes ces ordinations
et celles de demain pour le diocèse de Luçon.
mon Dieu, donnez-nous beaucoup de prêtres,
de saints prêtres.
+
Publié le 17 Juin 2016
Chers frères et sœurs,
Selon l'opinion commune d'aujourd'hui, le christianisme serait une religion européenne, qui aurait ensuite exporté la culture de ce continent dans d'autres pays. Mais la réalité est beaucoup plus complexe, car la racine de la religion chrétienne se trouve dans l'ancien Testament et donc à Jérusalem et dans le monde sémitique. Le christianisme se nourrit toujours à cette racine de l'Ancien Testament. Son expansion au cours des premiers siècles a eu lieu aussi bien vers l'Occident - vers le monde gréco-latin, où il a ensuite inspiré la culture européenne - que vers l'Orient, jusqu'à la Perse, à l'Inde, contribuant ainsi à susciter une culture spécifique, en langues sémitiques, avec une identité propre. Pour montrer cette multiplicité culturelle de l'unique foi chrétienne des débuts, j'ai parlé dans la catéchèse de mercredi dernier d'un représentant de cet autre christianisme, Aphraate le Sage persan, presque inconnu chez nous. Dans cette même optique, je voudrais aujourd'hui parler de saint Ephrem le Syrien, né à Nisibe vers 306 dans une famille chrétienne. Il fut le représentant le plus important du christianisme de langue syriaque et réussit à concilier d'une manière unique la vocation du théologien et celle du poète. Il se forma et grandit à côté de Jacques, Evêque de Nisibe (303-338), et il fonda avec lui l'école de théologie de sa ville. Ordonné diacre, il vécut intensément la vie de la communauté chrétienne locale jusqu'en 363, année où la ville de Nisibe tomba entre les mains des Persans. Ephrem immigra alors à Edesse, où il poursuivit son activité de prédicateur. Il mourut dans cette ville en l'an 373, victime de la contagion de la peste qu'il avait contractée en soignant les malades. On ne sait pas avec certitude s'il était moine, mais il est cependant certain qu'il est resté diacre pendant toute sa vie et qu'il a embrassé l'état de virginité et de pauvreté. C'est ainsi qu'apparaît dans la spécificité de son expression culturelle, l'identité chrétienne commune et fondamentale: la foi, l'espérance - cette espérance qui permet de vivre pauvre et chaste dans ce monde, en plaçant toutes ses attentes dans le Seigneur - et, enfin, la charité, jusqu'au don de soi-même dans le soin des malades de la peste.
Saint Ephrem nous a laissé un grand héritage théologique: sa production considérable peut se regrouper en quatre catégories: les œuvres écrites en prose ordinaire (ses œuvres polémiques, ou bien les commentaires bibliques); les œuvres en prose poétique; les homélies en vers; et enfin les hymnes, qui sont certainement l'œuvre la plus vaste d'Ephrem. Il s'agit d'un auteur riche et intéressant sous de nombreux aspects, mais en particulier sous le profil théologique. Si nous voulons aborder sa doctrine, nous devons insister dès le début sur ceci: le fait qu'il fait de la théologie sous une forme poétique. La poésie lui permet d'approfondir la réflexion théologique à travers des paradoxes et des images. Dans le même temps sa théologie devient liturgie, devient musique: en effet, c'était un grand compositeur, un musicien. Théologie, réflexion sur la foi, poésie, chant, louange de Dieu vont de pair; et c'est précisément dans ce caractère liturgique qu'apparaît avec limpidité la théologie d'Ephrem, la vérité divine. Dans sa recherche de Dieu, dans sa façon de faire de la théologie, il suit le chemin du paradoxe et du symbole. Il privilégie largement les images contrastantes, car elles lui servent à souligner le mystère de Dieu.
Je ne peux pour le moment présenter que peu de chose de lui, également parce que la poésie est difficilement traduisible, mais pour donner au moins une idée de sa théologie poétique, je voudrais citer en partie deux hymnes. Tout d'abord, également en vue du prochain Avent, je vous propose plusieurs images splendides tirées des hymnes Sur la nativité du Christ. Devant la Vierge, Ephrem manifeste son émerveillement avec un ton inspiré:
"Le Seigneur vint en elle pour se faire serviteur.
Le Verbe vint en elle
pour se taire dans son sein.
La foudre vint en elle
pour ne faire aucun bruit.
Le pasteur vint en elle
et voici l'Agneau né, qui pleure sans bruit.
Car le sein de Marie
a renversé les rôles:
Celui qui créa toutes choses
est entré en possession de celles-ci, mais pauvre.
Le Très-Haut vint en Elle (Marie),
mais il y entra humble.
La splendeur vint en elle,
mais revêtue de vêtements humbles.
Celui qui dispense toutes choses
connut la faim.
Celui qui étanche la soif de chacun
connut la soif.
Nu et dépouillé il naquit d'elle,
lui qui revêt (de beauté) toutes choses"
(Hymne "De Nativitate" 11, 6-8)
Pour exprimer le mystère du Christ, Ephrem utilise une grande diversité de thèmes, d'expressions, d'images. Dans l'une de ses hymnes, il relie de manière efficace Adam (au paradis) au Christ (dans l'Eucharistie):
"Ce fut en fermant
avec l'épée du chérubin,
que fut fermé
le chemin de l'arbre de la vie.
Mais pour les peuples,
le Seigneur de cet arbre
s'est donné comme nourriture
lui-même dans l'oblation (eucharistique).
Les arbres de l'Eden
furent donnés comme nourriture
au premier Adam.
Pour nous, le jardinier
du Jardin en personne
s'est fait nourriture
pour nos âmes.
En effet, nous étions tous sortis
du Paradis avec Adam,
qui le laissa derrière lui.
A présent que l'épée a été ôtée
là-bas (sur la croix) par la lance
nous pouvons y retourner"
(Hymne 49, 9-11).
Pour parler de l'Eucharistie, Ephrem se sert de deux images: la braise ou le charbon ardent, et la perle. Le thème de la braise est tiré du prophète Isaïe (cf. 6, 6). C'est l'image du séraphin, qui prend la braise avec les pinces, et effleure simplement les lèvres du prophète pour les purifier; le chrétien, en revanche, touche et consume la Braise, qui est le Christ lui-même:
"Dans ton pain se cache l'Esprit
qui ne peut être consommé;
dans ton vin se trouve le feu
qui ne peut être bu.
L'Esprit dans ton pain, le feu dans ton vin:
voilà une merveille accueillie par nos lèvres.
Le séraphin ne pouvait pas approcher ses doigts de la braise,
qui ne fut approchée que de la bouche d'Isaïe;
les doigts ne l'ont pas prise, les lèvres ne l'ont pas avalée;
mais à nous, le Seigneur a permis de faire les deux choses.
Le feu descendit avec colère pour détruire les pécheurs,
mais le feu de la grâce descend sur le pain et y reste.
Au lieu du feu qui détruisit l'homme,
nous avons mangé le feu dans le pain
et nous avons été vivifiés"
(Hymne "De Fide" 10, 8-10).
Voilà encore un dernier exemple des hymnes de saint Ephrem, où il parle de la perle comme symbole de la richesse et de la beauté de la foi:
"Je posai (la perle), mes frères, sur la paume de ma main,
pour pouvoir l'examiner.
Je me mis à l'observer d'un côté puis de l'autre:
elle n'avait qu'un seul aspect de tous les côtés.
(Ainsi) est la recherche du Fils, impénétrable, car elle n'est que lumière.
Dans sa clarté, je vis la Limpidité,
qui ne devient pas opaque;
et dans sa pureté,
le grand symbole du corps de notre Seigneur,
qui est pur.
Dans son indivisibilité, je vis la vérité,
qui est indivisible"
(Hymne "Sur la Perle" 1, 2-3).
La figure d'Ephrem est encore pleinement actuelle pour la vie des différentes Eglises chrétiennes. Nous le découvrons tout d'abord comme théologien, qui, à partir de l'Ecriture Sainte, réfléchit poétiquement sur le mystère de la rédemption de l'homme opérée par le Christ, le Verbe de Dieu incarné. Sa réflexion est une réflexion théologique exprimée par des images et des symboles tirés de la nature, de la vie quotidienne et de la Bible. Ephrem confère un caractère didactique et catéchistique à la poésie et aux hymnes pour la liturgie; il s'agit d'hymnes théologiques et, dans le même temps, adaptées à la récitation ou au chant liturgique. Ephrem se sert de ces hymnes pour diffuser, à l'occasion des fêtes liturgiques, la doctrine de l'Eglise. Au fil du temps, elles se sont révélées un moyen de catéchèse extrêmement efficace pour la communauté chrétienne.
La réflexion d'Ephrem sur le thème de Dieu créateur est importante: rien n'est isolé dans la création, et le monde est, à côté de l'Ecriture Sainte, une Bible de Dieu. En utilisant de manière erronée sa liberté, l'homme renverse l'ordre de l'univers. Pour Ephrem, le rôle de la femme est important. La façon dont il en parle est toujours inspirée par la sensibilité et le respect: la demeure de Jésus dans le sein de Marie a grandement élevé la dignité de la femme. Pour Ephrem, de même qu'il n'y a pas de Rédemption sans Jésus, il n'y a pas d'incarnation sans Marie. Les dimensions divines et humaines du mystère de notre rédemption se trouvent déjà dans les textes d'Ephrem; de manière poétique et avec des images fondamentalement tirées des Ecritures, il anticipe le cadre théologique et, d'une certaine manière, le langage même des grandes définitions christologiques des Conciles du V siècle.
Ephrem, honoré par la tradition chrétienne sous le titre de "lyre de l'Esprit Saint", resta diacre de son Eglise pendant toute sa vie. Ce fut un choix décisif et emblématique: il fut diacre, c'est-à-dire serviteur, que ce soit dans le ministère liturgique, ou, plus radicalement, dans l'amour pour le Christ, qu'il chanta de manière inégalable, ou encore, dans la charité envers ses frères, qu'il introduisit avec une rare habileté dans la connaissance de la Révélation divine.
Benoît XVI
Publié le 17 Juin 2016
du soleil ... !
Publié le 16 Juin 2016
Bravo Mickail .
Oui c'est vrai, ils sont tellement trop nombreux. ! Mais le bien aussi est nombreux, tous ces petits apprennent à avoir un autre regard sur le monde. Vous voyez nous, on est. L'être c'est le pur, le beau. Vous ne me connaissez pas mais j'existe, quelque part là-bas à Moscou. Un futur prêtre disait ce qui l'a amené au sacerdoce ce sont les enfants, je veux bien le croire.
quelle leçon de méditation. En dehors de la télé, des sites de sinistrose aigüe où tout est foutu. Et là tout à coup la vie prend le dessus, telle que Dieu la regarde. Au fond c'est vrai, le mal c'est du non être. Et je me dis au fond c'est ça la vie. Non plus le sensus Ecclesiae, mais le sensus Vitae. les deux ont l'air d'aller ensemble comme des inséparables. L'un mène à l'autre inévitablement, non seulement une leçon de chose, mais de philosophie jusqu'à la théologie. donner un nouveau sens à son existence. On ne peut pas connaître le Christ, si on ne connait pas ce qui est beau. Peut-être me dis-je au fond est ce que je connais le Christ? on regarde tellement tout de travers.
c'est mon chemin, arriver à se dire au fond je me suis trompé sans doute pendant tant d'années dans un système de conventions liturgiques, de règles, que sais-je! pour arriver à quel résultat .. !
je m'étonne de certaines vidéos publicitaires pour vocation sacerdotale je me demande où ils vont chercher leur musique. parfois c'est tellement laid...
mais là le soir on peut s'endormir dans la paix, parce qu'on sait que quelque part là-bas une petite étoile brille. Lui Mickhail c'est déjà la catégorie jeune virtuose.