Publié le 26 Septembre 2015

Rédigé par Philippe

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Publié le 26 Septembre 2015

 

  Lassé de sa vie trépidante d'être humain, un graphiste londonien a décidé de devenir chèvre pendant plusieurs jours et d'aller gambader dans les Alpes suisses.

 

Lassé de sa vie trépidante d'être humain, un graphiste londonien a décidé de devenir chèvre pendant plusieurs jours et d'aller gambader dans les Alpes suisses.

Thomas Thwaites, 34 ans, s'est fait fabriquer des prothèses spéciales pour ses quatre membres et a même subi des changements neurologiques pour pouvoir être plus caprin.
"Je n'avais pas le moral... j'étais un peu déprimé par les complexités de la vie humaine et tous les efforts pour gagner de l'argent", a-t-il expliqué à l'AFP.

L'inspiration lui est venue en gardant le chien d'un ami, un animal "joyeux, heureux de vivre". "Je me suis dit: ce ne serait pas formidable d'être un animal pendant quelque temps? Je veux prendre des vacances de l'humanité".

 

 

l'orient, le jour

 

 

 

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Rédigé par Philippe

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Publié le 25 Septembre 2015

 

PROLEGOMENES A UNE EIDETIQUE de la beauté .

 

 

 

 

 

  c'est habité apparement. un batracien géorgien sans doute..  

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

la dernière rose de l'été ...

 

 

 

 

 

photos petit placide évidement..

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Rédigé par Philippe

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Publié le 25 Septembre 2015

 

 

« L’abandon cause la joie…

 

La joie, nous la voulons tous, et tout en nous la veut sans cesse.

 

L’âme divinement éclairée et sainte va souvent d’elle-même au-devant de la croix. Ne vous y trompez pas c’est encore la joie qu’elle y cherche ; cette joie haute, pure, incomparable, qu’on ressent à prouver son amour en s’immolant pour celui qu’on aime. Eh bien ! voulez-vous un secret pour être constamment joyeuses? je dis un secret ; il est trop clair que c’en est un, car dans cette multitude sans nombre qui cherche incessamment la joie, regardez combien la trouvent. Et ne pensez pas que vous, épouses du Christ, vous, disciples du Crucifié, et crucifiées par vœu au monde et à la chair, vous fassiez fausse route en recherchant la joie. Ce serait trop peu dire que cette recherche vous est permise ; je dirai qu’elle est obligatoire.

 

Elle est la conséquence rigoureuse de votre foi, des paroles que Dieu vous adresse, des promesses qu’il vous fait, des espérances qu’il vous ordonne d’avoir, de l’amour étrange qu’il vous porte , des grâces sans mesure et sans prix par lesquelles il l’a témoigné , enfin de la merveilleuse destinée qu’il vous prépare.

 

Chercher la joie, c’est avoir compris son baptême, c’est l’honorer et le cultiver. Chercher la joie, c’est chercher le ciel qui est la joie de la vérité, la vérité de la joie, la source et l’océan de ces joies véritables dont l’âme sainte est la mère et dont le père est l’Époux divin. Chercher la joie, c’est donc chercher Dieu ; et être joyeux, c’est lui rendre justice ; c’est publier que son joug est doux, et qu’il n’y a pas de bonheur pareil à celui de ses serviteurs. C’est prêcher son saint Évangile : car pensez-vous que si l’on voyait tous les chrétiens joyeux, ce ne fût pas une bonne preuve de la divinité du christianisme, et un attrait pour y gagner tant de malheureux qui ne s’en éloignent que parce qu’ils s’en défient et qui souvent ne s’en défient que parce que la forme extérieure des chrétiens leur fait peur ?

C’est aussi la meilleure, on peut dire l’unique voie pour avancer votre sainteté , et assurer ce qui vous importe le plus au monde, votre persévérance dans l’amour de Dieu.

comptez les maux qui viennent de la tristesse, les resserrements qu’elle produit à l’égard de Dieu et du prochain, les doutes dont elle tourmente l’esprit, les fantômes dangereux dont elle obsède ‘imagination, la langueur où elle jette l’âme, le découragement qu’elle lui persuade, l’inertie où elle la retient, la stérilité dont elle la trappe, comptez les scandales qu’elle cause journellement, en repoussant les âmes d’une piété dont on peut croire qu’elle est l’effet naturelle et la physionomie normale ; comptez enfin ceux qu’elle a fini par perdre misérablement après avoir été leur supplice en ce monde ; et alors vous saurez quelque chose des biens merveilleux cachés dans la joie spirituelle. vous pouvez donc, vous devez donc chercher la joie, vous tenir dans la joie et y vivre…

 

Il n’est pas absolument rare que cette joie soit sensible. D’autres fois, et le plus souvent, elle demeure exclusivement spirituelle. Pour l’atteindre, il faut que l’âme se retire de tous ses sens, et gagne, pour ainsi parler, la cime de ses puissances.

Mais de même que si les eaux débordées inondent les vallées et forcent les habitants à gravir les montagnes, ces réfugiés y trouvent un air plus pur et une lumière plus sereine ; de même aussi, en émigrant dans ses propres hauteurs, l’âme goûte une joie d’autant plus réelle et plus vive qu’elle est plus céleste.

 

A vrai dire, c’est là plus que partout ailleurs qu’elle comprend ce que l’Écriture nomme la manne cachée, et ce qu’il y a de délices surhumaines signifiées par ces mots de saint Paul : « Qui adhère à Dieu est avec lui un seul et même esprit » (1 Co 6, 17).

 

 

 

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Rédigé par Philippe

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Publié le 25 Septembre 2015

 

 

 

 

12 octobre

 

Le 12 octobre, nous célébrons l’anniversaire de la dédicace de notre église abbatiale.

 

De même que chaque chrétien est consacré par les sacrements de l’initiation (le baptême, la confirmation et l’euchariste), de même chaque église est consacrée par un rite unique, la dédicace, qui en fait un lieu consacré à la rencontre entre Dieu et les hommes.

 

La dédicace de notre église abbatiale a eu lieu un 12 octobre, probablement en 1010, il y a désormais plus de 1000 ans. Chaque année, nous en célébrons solennellement l’anniversaire à cette date. Nous décorons avec soin notre église dont c’est la fête : un cierge allumé est placé devant chacune des douze croix de consécration, ainsi qu’une couronne de feuilles de vigne vierge, aux couleurs de l’automne.

 

La liturgie de l’anniversaire de la dédicace d'une église célèbre la présence de Dieu parmi les hommes, à travers les thèmes bibliques du Temple de Jérusalem, mais aussi du songe de Jacob (Gn 28, 18-19). À travers l’église de pierre, elle porte nos regards vers l’Église dont nous sommes les pierres vivantes, signe de la Jérusalem céleste, vers laquelle nous marchons.

 

abbaye de Solesmes .

 

 

 

 

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Rédigé par Philippe

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Publié le 25 Septembre 2015

 

Xavier JARA (U.S.A., né en 1993), guitare, en finale du Concours International de Guitare d'Antony 2014 dont il remportera le deuxième prix et le prix de la meilleure interprétation de l'oeuvre imposée.
Xavier étudie actuellement au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris dans la classe d'Olivier Chassain.

 

 

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Rédigé par Philippe

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Publié le 24 Septembre 2015

 

"Ecce pietate sua demonstrat nobis Dominus viam vitæ."

règle de st Benoît .

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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Publié le 24 Septembre 2015

 

" mais elle, depuis qu'elle est entrée elle ne cesse d'embrasser mes pieds."

 

 

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Publié le 24 Septembre 2015

Rédigé par Philippe

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Publié le 23 Septembre 2015

 

trop sympa  y a des gens bien quand même , félicitations ! 

j'ai que des gens bien sur ma page, non mais.

un de mes amis ! 

Georgy Ibatulin est de 14 ans. Il est né à Tambov 500 kilomètres de Moscou. Il vit actuellement à Voronej, dans le centre de la partie européenne de la Fédération de Russie. Il joue du violon et le piano un peu. C omenzó ses études à l'Ecole des Arts №6, puis a continué à l'École des Arts №2, où il étudie actuellement. Ses principaux professeurs sont leur professeur, Irina Petrovna Geladze, et son père.

- Quelle est la musique classique pour vous?

Musique classique signifie beaucoup pour moi: la plus grande joie, sentiments profonds, communication avec les amis, la possibilité d'être en contact avec le grand art.

- Pourquoi aimez-vous tant la musique classique?

La musique classique est avec moi depuis que je suis né parce que mes parents, grands-parents, ma sœur aînée sont tous les musiciens. Mais je suis tombé en amour de la musique é vraiment quand je commencé à jouer du violon

- Quel est l'auteur que vous aimez jouer? Pourquoi?

J' aime la musique russe: de Tchaykovsky et Rachmaninov.

- Comment est l'instrument dans lequel vous vous spécialisez? Qu'aimez-vous à ce sujet?

Le violon comme la voix humaine est très expressif, a un très beau timbre. Vous avez juste à savoir comment bien jouer.

- Quel message aimeriez-vous envoyer à d'autres jeunes gars pour écouter de la musique classique et venir vous voir lors des concerts qui vont donner à Santiago de Compostela?

Lors du concert je tente de montrer la beauté de la musique, et de sorte qu'il communique avec tout le monde, indépendamment de l'âge.

- Qu'attendez-vous de votre participation au V Festival Musique pèlerins?

J' étais jamais en Espagne, je l'espère d'être impressionné.

- Si vous imaginez votre vie en tant que musicien ... ce que vous voyez ou ce que vous imaginez?

Je serais en solo, mais à travailler dur pour cela.

- Quelle est la prochaine étape dans votre carrière?

Je pense de solides performances dans un avenir proche. Je voudrais préparer quelque chose de digne. Je me sens plus proche des compositeurs des XVIIIe et XIXe siècles.

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