Publié le 16 Septembre 2014

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dédicace à quelqu'un que j'aime et  qui parle de "messe à l'envers et de messe à l'endroit " j'ai rigolé aujourd'hui ! je le vois d'ailleurs esquisser  un petit sourire... le deuxième, il va à Fribourg. 860 kilomètres pour aller à la messe ! !!! 

 

 

le premier il fait du surplace ! patauge dans la choucroute comme on dit !   pas grave ! pour ce que c'est beau ! il reste dans sa médiocrité ! 


 

Skype Emoticons" TOUCHE PAS A MON BUS '"


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Publié le 16 Septembre 2014

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Publié le 15 Septembre 2014

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Debout, la Mère douloureuse près de la croix était en larmes devant son Fils suspendu.

Dans son âme qui gémissait, toute brisée, endolorie, le glaive était enfoncé.

Qu'elle était triste et affligée, la Mère entre toutes bénie, la Mère du Fils unique !

Qu'elle avait mal, qu'elle souffrait, la tendre Mère, en contemplant son divin Fils tourmenté !

Quel est celui qui sans pleurer pourrait voir la Mère du Christ dans un supplice pareil ?

Qui pourrait sans souffrir comme elle contempler la Mère du Christ douloureuse avec son Fils ?

Pour les péchés de tout son peuple elle le vit dans ses tourments, subissant les coups de fouet.

Elle vit son enfant très cher mourir dans la désolation alors qu'il rendait l'esprit.

Daigne, ô Mère, source d'amour, me faire éprouver tes souffrances pour que je pleure avec toi.

Fais qu'en mon coeur brûle un grand feu pour mieux aimer le Christ mon Dieu et que je puisse lui plaire.

0 sainte Mère, daigne donc graver les plaies du Crucifié profondément dans mon coeur.

Ton enfant n'était que blessures, lui qui daigna souffrir pour moi; donne-moi part à ses peines.

Qu'en bon fils je pleure avec toi, qu'avec le Christ en croix je souffre, chacun des jours de ma vie !

Etre avec toi près de la croix et ne faire qu'un avec toi, c'est le voeu de ma douleur.

Vierge bénie entre les vierges, pour moi ne sois pas trop sévère et fais que je souffre avec toi.

Que je porte la mort du Christ, qu'à sa Passion je sois uni que je médite ses plaies !

Que de ses plaies je sois blessé, que je m'enivre de la croix et du sang de ton Enfant !

Pour ne pas brûler dans les flammes, prends ma défense, Vierge Marie, au grand jour du jugement.

Christ, quand je partirai d'ici, fais que j'obtienne par ta Mère la palme de la victoire.

Au moment où mon corps mourra, fais qu'à mon âme soit donnée la gloire du Paradis.

Amen.

 

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merci !trop content..


"donne-moi part à ses peines.

 

Qu'en bon fils je pleure avec toi, qu'avec le Christ en croix je souffre, chacun des jours de ma vie !" ecce Fiat ! 

là aussi ils étaient bien content que quelqu'un se manifeste pour les remercier. Au moins pour le petit placide ça a un intérêt majeur. et des sites anglophones où il y a eu aussi beaucoup de pub.


merci mr le curé . la perfection du service de messe, comme les moines dis-donc !

 

 

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messe chantée  18h30 

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Publié le 15 Septembre 2014

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Publié le 14 Septembre 2014

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PRIEZ POUR NOUS !

 

"Votre peine, Vierge sacrée, a été la plus grande qu'une pure créature ait jamais endurée ; car toutes les cruautés que nous lisons que l'on a fait subir aux martyrs, ont été légères et comme rien en comparaison de votre douleur. Elle a été si grande et si immense, qu'elle a crucifié toutes vos entrailles et a pénétré jusque dans les plus secrets replis de votre cœur. Pour moi, ma très pieuse Maîtresse, je suis persuadé que vous n'auriez jamais pu en souffrir la violence sans mourir, si l'esprit de vie de votre aimable Fils, pour lequel vous souffriez de si grands tourments, ne vous avait soutenue et fortifiée par sa puissance infinie."

 

st Anselme.

 


 

Marie, tu m’apparais au sommet du Calvaire

Debout près de la Croix, comme un prêtre à l’autel

Offrant pour apaiser la justice du Père

Ton bien-aimé Jésus, le doux Emmanuel…

Un prophète l’a dit, ô Mère désolée,

« Il n’est pas de douleur semblable à ta douleur ! »

O Reine des Martyrs, en restant exilée

Tu prodigues pour nous tout le sang de ton cœur !

 

ste Thérèse.

 

 

Voyez ce qu'ajoutait à ses plaies, dans la Passion de Jésus, la compassion de sa Mère. Il la voyait, le cœur tout broyé, les mains serrées par la douleur, les yeux ruisselants de larmes, le visage crispé, la voix plaintive, mais tout le corps dressé, virile et debout auprés de son gilbet. Je la devine, la tête voilée sans doute, tant sa modestie demeurait virginale, tant sa douleur passait toute mesure. Que de gémissements dut-elle pousser, pleurant son Fils et répétant : « Jésus, mon Fils Jésus, qui me donnera de mourir avec toi et pour toi, mon Fils, mon très doux Jésus ? » Que de fois dut-elle lever respectueusement les yeux vers ces blessures sauvages, si même elle put les en détourner un instant, ou si, du moins, à travers le flot de ses larmes, elle pouvait encore les contempler !

 

 

Comment croire qu’elle eût pu ne pas défaillir de l’immensité de la douleur imposée à son cœur, alors que je demeure stupéfait qu'elle n’en ait pas reçu la mort ? Vivante, elle partage sa mort, la vie faisant peser sur elle une douleur plus cruelle que la mort.

 

 

 « Regardez et voyez s'il y a douleur pareille à ma douleur ? » Ecoutons cette lamentation de Marie, la Vierge Mère. Contemplons cette douleur poignante et nous le verrons : il n'est pas de douleur pareille à sa douleur, si ce n'est la douleur de ce Fils où la sienne se modèle ; puisque, ô surprise à peine croyable, c'est une vraie compassion qui l’étreint, et que les mots d’une langue humaine ne sauraient exprimer. Car faisant rejaillir sur soi les douleurs, les blessures, les outrages de son Fils, elle les subissait dans sa propre personne, ressentant ce qui se trouvait dans le Christ Jésus. En son âme, debout près du Christ, elle partageait son martyre ; blessée de sa blessure, crucifiée au crucifix, percée du même glaive. Car son âme fut transpercée par le glaive de la passion du Christ.

 

 

 

Saint Bonaventur

 

Elle pleurait, elle était devenue affreuse. Les cils collés. Les deux paupières, celle du dessus et celle du dessous. Gonflées, meurtries, sanguinolentes. Les joues ravagées. Les joues ravinées. Les joues ravaudées. Ses larmes lui avaient comme labouré les joues. Les larmes de chaque côté lui avaient creusé un sillon dans les joues.

Les yeux lui cuisaient, lui brûlaient.

Jamais on n'avait autant pleuré. Et pourtant ce lui était un soulagement de pleurer.

La peau lui cuisait, lui brûlait.

Et lui pendant ce temps-là sur la croix les Cinq plaies lui brûlaient.

Et il avait la fièvre.

Et elle avait la fièvre.

Et elle était ainsi associée à sa Passion.


Et les yeux lui piquaient. Et ça lui battait dans les tempes. A force d'avoir pleuré. Et d'avoir encore envie de pleurer.

Elle pleurait. Elle fondait. Son cœur se fondait. Son corps se fondait.

Elle fondait de bonté.

De charité.

Il n'y avait que sa tête qui ne fondait pas.

Elle allait entendre le cri.

Le cri qui ne s'éteindra dans aucune nuit d'aucun temps.

Il avait aussi une crampe.

Il avait surtout une crampe. Une crampe effroyable.

A cause de cette position. De rester toujours dans la même position.

Elle la sentait.

Voilà ce qu'il avait apporté à sa mère.

Ce qu'il lui avait mis dans la main.

Voilà comment il l'avait récompensée.

Il lui avait apporté.

Il lui avait mis dans la main.

Les Sept Douleurs.

Il lui avait apporté.

Il lui avait mis dans la main.

D'être la Reine.

D'être la Mère.

Il lui avait apporté.

D'être.

Notre Dame des Sept Douleurs.

Il faut dire aussi.

Il faut dire que c'était un présent royal.

Il faut dire que c'était un présent éternel.

Alors comme un mourant, il repassait sa vie entière. Toute la vie à Nazareth. Il se revoyait tout le long de sa vie entière.

Son cœur lui brûlait.

Son cœur lui dévorait.

Son cœur brûlé d'amour. Son cœur dévoré d'amour.

Et jamais homme avait-il soulevé tant de haine.

Jamais homme avait-il soulevé une telle haine.

C'était une gageure. C'était comme un défi.

 

Charles Péguy,

 

 

  pour Vincent, ceux-là c'est des bons aussi !j'adore.!

merci de votre gentillesse bien rare.  udp+

 

 

 


 

 

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Publié le 14 Septembre 2014

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Publié le 14 Septembre 2014

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Ce curé qui avait suscité une vive polémique en refusant la tenue d'un concert dans l'église de Miomo en août dernier sort de son silence. Il réfute toutes les accusations portées contre lui.

 

Cette affaire, révélée le mois dernier, avait fait grand bruit. Le maire de Santa-Maria di Lota, Guy Armanet, était en effet monté au créneau pour dénoncer le comportement du père Joszef Kordek, le curé des paroisses de la piève de Lot.

 

« à refuser le concert du 13 août dernier ignorant le contenu du programme. Si une manifestation culturelle laïque est envisagée dans une église, il est tout à fait normal que l'autorité religieuse compétente s'assure que le profane est respectueux du religieux. En respectant ce processus, il n'y a aucune raison pour qu'à l'avenir une manifestation culturelle ne puisse avoir lieu en l'église de Miomo ».

 

« Au sujet des autres allégations, qui reposent sur quelques rumeurs malveillantes, il eut été facile de s'informer de la réalité des faits. À Mandriale, si j'ai déplacé sur un support annexe les pulezzule que j'admire pour le travail effectué, c'est parce que le maître-autel, selon la liturgie, est exclusivement réservé au saint-office de la messe. »

 

linK CORSE MATIN

 

"Merci de tous vos textes, prières et images reçus au fil des jour.

Ceux-ci sont pour moi soutien, réconfort, aide et prières. Parfois certains me font bien rire ou sourire, un peu de fraicheur d'humour ne font pas de mal...."

merci ms'ieur !

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Publié le 14 Septembre 2014

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très beau !

 

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Publié le 14 Septembre 2014

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