Publié le 10 Juin 2015

Rédigé par Philippe

Publié dans #spiritualité

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Publié le 10 Juin 2015

 

sud-ouest

 

 

Skype emoticons-01-sadsmile là où j'aurais dû finir mes vieux jours.. té, mais pour ça il aurait fallu que je connaisse un agent immobilier honnête; des relations, on peut pas partir dans le vide; avec son caveau au Sabaou on pouvait pas rêver mieux; m' enfin c'est la vie. les voies du Seigneur !  c'est pas des chrétiens isolés au moins eux surtout avec la communauté st Martin, la fraternité st thomas Becket, à Bayonne, ils ont le choix;  y en a qui ont du bol quoi. c'est pas d'avoir essayé, mais les agents immobiliers sont souvent des roublards, on vous voit venir quoi ;  trop tard maintenant.  Comme quoi on fait pas tout ce qu'on veut dans la vie. !

 

http://www.paroisse-biarritz.fr/albums/vignettes/150e-anniversaire-de-notre-dame-du-rocher-65-1Sa51B.jpg

 

 

très belles photos de la cérémonie

 

 

Le 17 Novembre 1893, le sémaphore de Biarritz signale la tempête. Le même jour, le sloop La Surprise, du port de Boulogne, quitte le port de Bayonne malgré les avertissements, avec quatre hommes et un mousse bord. Il a un chargement d'ardoises pour Londres.

Dans la nuit, saisi par la tempête, il perd voiles et gouvernail et se met à dériver vers la côte, poussé par de furieux vents de nord-ouest.

Le lendemain, vers 19 heures, il est entraîné vers la jetée du Rocher de la Vierge. Le canon d'alarme alerte la population. L'épave apparaît à peine dans la brume et les embruns. Une saute de vent au nord-est pousse le bâtiment vers le sud.

Des feux sont allumés sur l'Atalaye pour l'aider à s'orienter et, le dimanche 19 novembre, au petit matin, il apparaît, démâté, portant un lambeau de foc à son mât avant devant le phare.

Le mât du sémaphore porte un drapeau noir signalant un navire en perdition.

Les vagues et le courant entraînent l'épave vers le sud et la digue du Rocher de la Vierge, et peu à peu il se retrouve dans la même position que la veille. Un canon porte-amarre a pu être acheminé du Boucau et l'espoir revient de sauver l'équipage ; la mer grossit et le vent souffle en tempête : l'épave est drossée de plus en plus vers les récifs, qui entourent le Rocher de la Vierge.

Les essais du lance-amarre sont négatifs, malgré trois expériences successives ; au dernier envoi, un marin de La Surprise se jette à la mer pour essayer de saisir le bout sauveteur ; il disparaît très vite dans les vagues.

Dans le bateau, le corps du petit mousse roule inanimé. Une vague monstrueuse soulève la carcasse disloquée du sloop, qui se fracasse sur le rocher l'Arroque Trucade.
 

Trois survivants surnagent : la foule des sauveteurs, impuissante et navrée, va les voir disparaître, tandis que la mer commence à se calmer, satisfaite sans doute du tribut douloureux qui vient de lui être réglé.
Un seul corps recueilli, celui de Joseph Calvez, est enterré au cimetière du Sabaou, dans une tombe offerte par la ville.

Une croix de fer sera scellée sur la Roche Battue en souvenir des disparus.

 

source

 

 

 

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Rédigé par Philippe

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Publié le 10 Juin 2015

 

 

 

 

 

 

 

skype emoticons smile  à Pauline, il y a de belles choses aussi dans la forme ordinaire... quand on veut!  les 5 dernières c'est forme ordinaire ...

 

 

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Rédigé par Philippe

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Publié le 10 Juin 2015

Rédigé par Philippe

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Publié le 9 Juin 2015

 

priez pour nous.

 

 

 

S’agissant de sa consécration personnelle au Sacré-Cœur, les notes que M. María Amparo a prises lors des Exercices Spirituels qu’elle a suivis chez elle, seule, en juillet 1912, sont particulièrement intéressantes.

 

« Mon Dieu, je me jette ici à tes pieds et, te montrant les blessures de mon âme, je te dis : mon Dieu, lave les blessures de mon âme avec le sang qui coule de ton Divin Cœur. Guéris les plaies de mon cœur avec le baume qui s’écoule du Tien. Purifie-moi avec l’eau céleste qui s’écoule de ton côté ouvert, et tu verras comme je vous serai fidèle à l’avenir par votre grâce.

 

« Oh Cœur amoureux, embrase dans les flammes de ta charité les pauvres pécheurs, et que l’incendie qui nous consume dans ton divin amour soit plus grand que celui qui nous brûlerait en enfer, si ton sang divin ne nous lavait pas de nos souillures et ne pardonnait pas nos fautes.

 

« Comment te rendrai-je l’amour infini que tu as pour moi ? Si je souffrais toutes les humiliations que souffrent et ont souffert toutes les créatures depuis le commencement du monde, ce ne serait rien pour te rendre ce que je te dois. Si je me consumais devant ton autel dans une perpétuelle adoration, ce serait encore peu de chose pour correspondre à tes amours. Dis-moi donc, mon Créateur, qu’est-ce que je dois faire pour y correspondre ? Je le sais déjà, Aimé de mon âme : m’oublier totalement dans ta providence sans m’accrocher aux créatures, ni me laisser troubler par leurs jugements. Qu’il en soit ainsi, Jésus aimé, je veux être tienne, parce que tiennes furent également l’innocente Marguerite et la pénitente Madeleine. Oh, si je t’aimais comme cette sainte pécheresse, comme ces Saints Exercices s’avéreraient heureux pour moi ! Si le foyer que tu embrases est si grand, que peut te coûter de m’envoyer une petite étincelle pour m’embraser dans ton amour ?

Pourquoi est-ce que je t’aime si peu, alors que Toi tu m’aimes de toute éternité ? Transperce, mon Jésus, transperce mon cœur de la flèche enflammée dans ton amour, et embrase-le dans le foyer enflammé de ton Cœur, capable de consumer le monde entier. Je ne te demande pas de me laisser incliner la tête sur ton Cœur parce que je sais que je ne le mérite pas, mais laisse-moi à tes pieds, comme Madeleine, et j’y trouverai la force de vaincre et d’obtenir le triomphe que je désire. Je suis une âme fatiguée de t’offenser, et je n’aime que Toi, je ne cherche que Toi, parce que ce n’est qu’en Toi, mon Jésus, que je trouve ma consolation et mon bien. Toi, qui courrais, infatigable, pour me rechercher lorsque je fuyais, est-ce maintenant que tu vas t’écarter, alors que je te cherche ? Je t’espère, Seigneur, parce que les âmes qui vous possèdent goûtent par anticipation les délices du Ciel. J’accepte pleinement de te recevoir si tu me visites par des épreuves, donne-moi la force et viens » (Memorias Espirituales, Ms. 3, 46-48).

 

« Mon Jésus, de votre Sacré-Cœur où je vivrai toujours cachée, je veux embaumer de l’arôme que j’y respire toutes les personnes qui doivent vivre avec moi. Mon Jésus, rendez mon cœur semblable au Vôtre, et qu’il soit pour tous ce que le Vôtre est pour moi, plein de miséricorde et de compassion » (Ibíd. Ms. 3, 73).

« Je veux, avec la chaleur recueillie dans le Sacré-Cœur, faire du bien à tous ceux avec lesquels je m’entretiens et enflammer de ferveur les âmes tièdes » (Ibíd. Ms. 3, 94).

« Je renonce en cette vie à tout ce qui n’est pas être une humble esclave et une épouse aimante de Jésus. Dans son adorable Cœur, je lui offre de faire le nid de mes amours, en Lui je place mes pensées, mon cœur, ma vie, mon âme, mes puissances et mes sens et tout mon être. Arrière, le monde ! Je ne trouverai de repos que dans la croix que mon Jésus m’envoie chaque jour, le reste étant interdit pour moi. Et ne crains pas, mon Jésus, qu’ingrate et lâche je t’abandonne, car avec votre grâce je vous serai fidèle tous les jours de ma vie, en ne vivant plus que pour Vous : ma vie sera votre amour, ma joie sera votre amour, mon espérance et moi-même tout votre amour.

« Je regarderai tous les vendredis de l’année comme consacrés au Cœur Divin, et s’il m’est possible j’y ferai un peu plus d’oraison. D’ordinaire, j’y consacrerai au moins une heure » (Ibíd. Ms. 3, 94).

(à suivre)

traduction pour le petit Placide .

nb: le "tu" et le "vous" sont respectés à la lettre.

 

 

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Rédigé par Philippe

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Publié le 9 Juin 2015

 

 

 

Skype emoticons-36-giggle y avait pas fête Dieu, d'abord il y a rien sur mon île..,

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Rédigé par Philippe

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Publié le 9 Juin 2015

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

corpus christi - sacra liturgia

 

 

 

 

 

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Rédigé par Philippe

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Publié le 8 Juin 2015

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Publié le 8 Juin 2015

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Publié le 8 Juin 2015

 

 

 

Depuis lors, c’est-à-dire depuis sa première communion, María Amparo ne vivait que pour Dieu, sans qu’aucun attrait mondain ne prenne racine en son cœur. Seul y habitait le désir de vivre pour le Seigneur et de parvenir un jour à se consacrer à Lui dans la vie religieuse.

Influencée peut-être par cette dévotion populaire au Sacré-Cœur, elle se sentait attirée ou conquise par Jésus précisément dans le mystère de son Cœur ouvert et brûlant d’amour. Elle écrit, dans son Autobiographie :

« Un jour mon âme était dans une très douloureuse agonie à cause des difficultés que suscitait l’ennemi pour m’empêcher d’être religieuse et à cause d’autres dangers qui me menaçaient. J’aurais aimé fuir dans un désert pour échapper à ces périls et passer ma vie dans la solitude la plus complète. Mais alors il me parut que Jésus me donnait son Divin Cœur comme le désert où je devais vivre et où Il me comblerait de sa présence toute familière. Là, Il me donnerait la force d’accomplir sa volonté très sainte. Lorsque je me sentais accablé de peines et de douleurs par la sainteté de justice qui, bien des fois, me mit à deux doigts de la mort, et lorsque les dangers extérieurs me harcelaient, je me retrouvais sans savoir comment dans ce désert divin où Jésus me réconfortait habituellement en vue de la lutte ».

Comme d’autres saints, María Amparo sentait que le Seigneur prenait en ses mains son cœur pour le purifier et le rendre plus semblable à Lui.

« Je me souviens qu’un jour, après la Sainte Communion, il m’apparut que Jésus prenait mon cœur et me le montrait en disant qu’Il voulait le purifier Lui-même comme le feu de son divin amour. Il me parut voir dans les mains de Jésus mon cœur sale et taché, avec des misères ou des atomes que je ne voyais que lorsque Notre Seigneur mettait sous mes yeux le miroir très pur de sa sainteté et de sa pureté infinies. Bien que je me sentais brûler de désirs de pureté, je n’ai jamais su comment faire pour me purifier de ces taches, jusqu’à ce qu’il me paraisse entendre de Jésus que cette purification était l’œuvre de sa miséricorde et qu’Il la réaliserait par le feu de son amour divin. Peu après, je me sentis comme submergée au plus profond d’un purgatoire d’amour, où j’ai souffert toute ma vie tant et de si longues peines que je ne saurais le dire. De ces profondeurs, où j’étais submergée, je voyais avec une clarté qui me terrifiait, tout ce qui s’opposait en moi à l’amour de Dieu, mon incapacité à tout bien, ma mauvaise correspondance aux grâces de Dieu et à quel point je contristais l’Esprit-Saint lorsque je n’étais pas fidèle à l’inspiration divine ».

 

(à suivre)

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